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Ostéoporose & Ostéopénie : les preuves d’efficacité d’Ostei’Os sur le rachis lombaire

Quelles sont les preuves ?

Vous avez entendu parler du stimulateur vertébral Ostei’Os.

Vous savez qu’il promet une reminéralisation osseuse en moins d’un an.

Mais, à juste raison, vous vous demandez si c’est réel, si c’est exact.

Vous craignez d’acheter un appareil inutile.

Vous voulez avoir la conviction que le stimulateur vertébral est efficace.

Il y a deux façons de répondre à votre question légitime.

La première, est d’écouter les témoignages des utilisatrices.

La seconde est d’apporter des arguments scientifiques.

Nous aborderons la question des témoignages dans un autre article.

Pour ce qui concerne les arguments scientifiques, vous les trouverez ci-dessous.

La loi de Wolff

Le professeur Wolff

La loi de Wolff sur les os - Ostei'Os
Pr. Julius WOLFF (1836-1902)

Le professeur Julius Wolff était un médecin berlinois à la fin du XIX° siècle.

Bref, un Prussien…

On pourrait dire que ça commence mal, sauf qu’il n’a jamais fait de mal aux francophones en général et à la France en particulier.

Mieux, il exerçait à l’hôpital de « La Charité » (en français), un hôpital berlinois fondé par des huguenots français.

Et l’hôpital de « La Charité » est un excellent hôpital, le meilleur en Allemagne, peut-être.

Julius Wolff est né en Prusse, en 1836, dans une petite ville devenue polonaise.

Il est devenu médecin en 1860.

Après quelques années, il a fondé la première chaire d’orthopédie de l’hôpital de « La Charité » et la première clinique orthopédique de Berlin.

Autant dire que c’était un pionnier et une référence dans son domaine.

Il est décédé en 1902 d’une attaque cardiovasculaire.

« La loi de transformation des os »

La Loi de la Transformation de l'Os - Pr. WolffMais en 1892, il avait pris le temps de publier un livre : « Das Gesetz der Transformation der Knochen », ce qui signifie en français : « La loi de la transformation des os ».

Ce livre est un classique de l’orthopédie médicale.

Pour la première fois, dans l’histoire de l’humanité, on y établissait les règles de l’évolution des os sous l’effet de l’âge, de la nutrition et des stimulations.

Le plus extraordinaire est que cette loi a été découverte par la seule observation, et sans expérimentation.

Ce livre de 150 pages contient une théorie parfaitement décrite et très bien documentée de ce que nous appelons maintenant la « loi de Wolff ».

Par la suite, des observations plus fines et des recherches menées sur l’évolution de la structure osseuse ont permis de confirmer cette « loi de Wolff ».

La loi de Wolff traite de nombreuses questions concernant l’évolution de la structure osseuse.

Ce qui nous intéresse particulièrement, c’est qu’elle indique que :

  • « la structure et la forme de l’os s’adaptent en permanence aux contraintes qu’il subit ».

Le « Mécanostat » du Pr. Harold Frost

Le Professeur Frost

Le professeur Harold Frost était un professeur américain qui a, lui aussi, énormément travaillé sur l’os.

Né en 1921, médecin en 1945, le docteur Frost a d’abord été chirurgien.

Ensuite, il s’est intéressé à l’orthopédie, la science médicale qui s’occupe de corriger les déformations des articulations et du squelette.

Ensuite, il s’est intéressé à la biologie de l’os de manière très intense : il a notamment fondé un laboratoire de recherche orthopédique à Détroit, dans le Michigan.

Au cours de sa carrière, il a publié environ 500 articles scientifiques et 16 livres sur la question.

C’est lui qui, avec son équipe, a étudié de manière extrêmement précise le fonctionnement biologique de l’os et les réactions biochimiques qui le permettent.

Il a donc confirmé les observations faites par le Professeur Julius Wolff, au siècle précédent.

Et grâce à son expertise, il a proposé un modèle expliquant la croissance et la décroissance de l’os en fonction des contraintes appliquées.

Le « Mécanostat »

Ce modèle s’appelle le « Mécanostat ».

Le Mécanostat - Pr. Harold Frost

Selon la théorie du « Mécanostat », la croissance et la perte osseuses sont stimulées par les déformations locales, élastiques suite aux contraintes qui s’exercent sur l’os.

Cette adaptation fonctionne pendant toute la vie de l’os, et donc jusqu’à des âges très avancés.

La masse osseuse, la géométrie osseuse, la résistance osseuse s’adaptent à l’utilisation et aux besoins quotidiens.

De ce fait, l’ampleur des forces, la charge supportée par l’os est un déterminant extrêmement important de l’évolution du squelette.

Les études du Professeur Frost ont confirmé que les impacts stimulaient la croissance osseuse.

Toutefois, l’os réagit beaucoup plus à des séries de charges séparées par 10 secondes de repos qu’à des vibrations de 10 charges successives appliquées en 10 secondes.

Les domaines de stimulation de l’os

Le Professeur Frost a défini 4 domaines progressifs de déformation de l’os avec des conséquences différentes :

  • Déficit de stimulation,

  • Utilisation adaptée,

  • Supplément de stimulation,

  • Fracture.

Déficit de stimulation :

Si la pression est insuffisante, le remodelage osseux se fait avec un excès de résorption osseuse, conduisant à une perte de masse et de solidité de l’os.

Utilisation adaptée :

Si la pression est adaptée, le remodelage osseux se fait de manière équilibrée, c’est-à-dire que la résorption osseuse est compensée par la formation d’os neuf.

Supplément de stimulation :

En cas de supplément de stimulation, le modelage osseux se fait : la formation d’os neuf est supérieure à la résorption osseuse.

Fracture :

La limite de résistance de l’os, très supérieure en temps normal aux pressions adaptées, est dépassée entraînant une fracture.

Pour un tibia, la limite de résistance est typiquement de 50 à 60 fois le poids corporel, pour une personne en bonne santé.

Ce qui est profondément intéressant, c’est que le Professeur Frost a montré que pour briser un os (tibia ou fémur, par exemple), il fallait des charges 5 à 7 fois supérieures à celles dont il a l’habitude, dans la vie de tous les jours.

Des os de très bonne solidité

Bien sûr, la structure osseuse dépend également d’autres facteurs : disponibilité du calcium, statut hormonal, âge, alimentation, sexe, maladies, produits pharmaceutiques…

Le Professeur Frost a également montré que la théorie du « Mécanostat » s’appliquait aussi aux tissus conjonctifs comme les tendons, les ligaments et les fascia.

En conclusion, ce qu’il est important de retenir, c’est que dès que l’on dépasse les pressions habituelles auxquelles sont utilisés nos os, ils se mettent à fabriquer de l’os neuf, plus massif et plus solide. En temps normal, la plage de stimulation possible est extrêmement large, et elle ne se réduit que si la déminéralisation est très avancée.

«L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose»

C’est le titre d’un article parue dans la presse professionnelle médicale suisse « Le Forum Médical Suisse » en 2018 en français.

Il a été écrit par une kinésithérapeute, Sabrina Morell et un Professeur de Rhumatologie, le Dr Thomas Gross.

Tous deux travaillaient, à l’époque, à l’hôpital cantonal d’Aarau en Argovie, au Nord de la Suisse germanophone.

Cet hôpital menait des recherches pour mieux prendre en charge les personnes touchées par l’ostéoporose et la déminéralisation osseuse.

Dans le cadre de ces travaux, dès 2014, Mme Morell a rédigé des recommandations en allemand destinées aux personnels de santé spécialisés pour leur décrire les programmes qui permettaient de stimuler le renforcement osseux.

Ces recommandations s’appuyaient sur une longue liste d’études réalisées dans différents pays sur l’impact de l’exercice physique sur l’ostéoporose.

Par la suite, l’hôpital d’Aarau a développé ses études dans les domaines en question.

Tout cela a abouti à la publication d’une synthèse des connaissances des spécialistes de l’hôpital d’Aarau en début d’année 2018.

Deux versions ont été publiées simultanément : l’une en allemand, l’autre en français.

C’est un article passionnant, comme vous allez le voir.

Dès le début de l’article, les auteurs indiquent que : « dans la prévention et le traitement de l’ostéoporose, l’influence potentielle de l’activité physique est le plus souvent occultée ».

Pourtant, « l’observance vis-à-vis des exercices physiques pour l’amélioration de la densité osseuse est nettement supérieure à celle vis-à-vis de la prise de médicaments anti-ostéoporotiques ».

Les auteurs distinguent trois catégories de patients :

  1. femmes post-ménopausées (sans densité osseuse pathologique);

  2. patients ostéopéniques/ostéoporotiques (encore relativement en forme);

  3. les patients ostéoporotiques âgés (état général réduit, par ex. anamnèse de chute positive).

Femmes post-ménopausées (sans densité osseuse pathologique)

Pour ces personnes, « l’objectif est ici de stabiliser voire d’améliorer la densité osseuse ».

A cet effet, il convient de combiner des exercices à impacts élevés avec des exercices à impacts modérés et la musculation d’intensité croissante.

« Les travaux indiquent majoritairement que c’est avant tout la charge relativement intensive qui est décisive pour l’action sur les os ».

Ensuite, l’article ajoute : « Un tel programme sur 8 mois a par ex. permis, chez les femmes âgées, d’améliorer la densité osseuse de 2,8% au niveau du col du fémur ».

Or 2,8 % correspondent à environ 2 années de déminéralisation osseuse au rythme habituel. En 8 mois, il est donc possible de rattraper deux années de perte osseuse courante !

Ces taux sont comparables à ce que l’on peut obtenir grâce à certains médicaments.

Il faut noter au passage que l’exercice physique permet de fabriquer de l’os neuf de très bonne qualité, ce qui n’est pas le cas de tous les médicaments : certains d’entre eux entraînent certes un renforcement, mais au prix d’une rigidification significative.

En outre, ces exercices entraînent une amélioration très nette de l’équilibre des patientes et une stabilité de l’état des cartilages, y compris chez des personnes présentant une forme légère d’arthrose.

Patients ostéopéniques/ostéoporotiques (encore relativement en forme)

Dans ce groupe de patients, « la densité osseuse peut être influencée positivement par l’exercice physique ».

Les exercices à pratiquer sont exactement les mêmes que ceux pratiqués par le groupe précédent : exercices à impacts élevés combinés avec des exercices à impacts modérés et musculation d’intensité croissante.

L’article précise : « Les premières hausses significatives de la densité osseuse à la TDMqp étaient déjà visibles après 4 mois, aussi bien au niveau du col du fémur que du rachis lombaire ».

Patients ostéoporotiques âgés (état général réduit, par ex. anamnèse de chute positive)

Avec ces personnes, des précautions doivent être prises : « Pour ce groupe à risque, l’attention principale doit donc être portée sur la prophylaxie des chutes, typiquement au moyen d’un entraînement spécifique avec exercices d’équilibre et de proprioception et développement de la force musculaire ».

Les exercices à réaliser pour cette population plus fragile sont alors :

  • des exercices fonctionnels faciles à exécuter au quotidien pour améliorer l’équilibre,
  • des exercices en vibration,
  • des exercices dans l’eau chaude pour les personnes souffrant de douleurs spécifiques (ces exercices sont moins efficaces que les mêmes exécutés au sec, donc en charge).

Conclusion de l’article suisse

Dans sa conclusion, l’article dit explicitement : « La promotion active des exercices physiques dans le cadre d’une ostéoporose confirmée ou bien pour sa prévention semble, d’après l’état actuel des connaissances médico-scientifiques, être une part essentielle de la mission de traitement ».

Enfin, la synthèse commence par indiquer que : « • Chez les femmes post-ménopausées et les patients ostéopéniques ou ostéoporotiques, la densité osseuse peut être significativement améliorée par un programme d’exercice physique spécifique sur mesure ».

En outre, « La densité osseuse, la force et l’équilibre des patients s’améliorent déjà après une durée d’intervention relativement courte ».

Les études LIFTMOR en Australie

L’équipe d’étude

Le projet LIFTMOR est un projet australien visant à étudier de manière détaillée l’impact d’exercices physiques spécifiques sur la santé osseuse.

En fait, LIFTMOR est une abréviation qui signifie approximativement : « Intervention en charge pour l’entraînement musculaire et l’amélioration de l’ostéoporose ».

Cette étude a été menée sous la direction du Professeur Belinda Beck et du Dr Benjamin Weeks, de l’université médicale de Griffith, sur la côte Est de l’Australie, à proximité de la ville de Brisbane.

C’est le Dr Steven Watson qui a piloté l’ensemble des études qui lui ont permis de préparer son doctorat. Il a d’ailleurs soutenu son doctorat grâce à l’ensemble des nouvelles connaissances acquises lors des études LIFTMOR.

Les protocoles d’exercices

Dans un premier temps, il s’agissait de définir un programme d’activités physiques permettant à des personnes atteintes d’ostéoporose d’améliorer leur santé osseuse, leur forme physique et de diminuer les risques de fracture.

Le programme LIFTMOR a comparé une intervention de 8 mois comprenant deux groupes de patients.

D’un côté, le premier groupe de patients menait des activités de faible intensité à domicile.

De l’autre côté, le deuxième groupe de patients réalisait deux fois par semaine 30 minutes d’exercices relativement intenses.

Les exercices réalisés par le deuxième groupe se faisaient à 85 % de la puissance maximale de chaque personne en 5 séries de 5 répétitions.

les exercices LIFTMOR contre l'ostéoporose - Ostei'Os Ces exercices consistaient en :

  1. flexions guidées (flexion des membres inférieures en tenant une charge glissant verticalement sur des rails pour stimuler la colonne vertébrale) ;
  2. sauts à impacts (sauter le plus haut possible pour retomber sur ses pieds en équilibre pour stimuler les fémurs),
  3. soulevé militaire (soulever au-dessus de la tête des haltères pour stimuler les poignets),
  4. soulevé de poids (prendre une charge au sol pour l’amener à hauteur du bassin pour stimuler la colonne vertébrale).

Ces exercices étaient réalisés sous supervision d’un kinésithérapeute (thérapeute physique).

Des résultats spectaculaires

Au final, les résultats ont été spectaculaires, comparés aux résultats du groupe faisant des exercices de faible intensité !

En effet, le groupe féminin de contrôle continuait à perdre plus de 1 % de masse osseuse en 8 mois en moyenne (-1,2 % ± 2,8 %) sur la colonne vertébrale.

Pendant ce temps, le groupe très actif reprenait près de 3 % de masse osseuse (+ 2,9 % ± 2,8 %).

Pour les fémurs, les résultats étaient également intéressants.

Le groupe très actif remontait légèrement sa densité osseuse en moyenne (+0,3 % ± 2,6 %) alors que le groupe de contrôle se déminéralisait rapidement (-1,9 % ± 2,6 %).

Conclusion de l’étude LIFTMOR

Ainsi, le Docteur Watson concluait que les exercices proposés par LIFTMOR avaient permis d’améliorer :

  • la densité osseuse aux fémurs et à la colonne vertébrale,
  • la courbure de la colonne vertébrale,
  • le plaisir de pratiquer des exercices et la qualité de la vie

des participants par rapport au groupe de contrôle.

Finalement, le Docteur Watson terminait en indiquant que de tels exercices constituent la base d’un programme efficace, sûr et plaisant pour traiter l’ostéoporose chez les femmes après la ménopause.

L’étude documentaire brésilienne de 2020

Pour conclure, il est important de citer une étude réalisée par une équipe brésilienne de kinésithérapeutes en 2020. Elle a fait l’objet d’une publication dans le journal scientifique « Gérontologie expérimentale » (Experimental Gerontology).

Cette étude est ce que l’on appelle une méta-analyse. C’est-à-dire qu’il s’agit de rassembler toutes les études de bonne qualité sur une question pour en faire la synthèse et en tirer des enseignements généraux applicables de manière plus large que chaque étude individuelle.

Ce qui est passionnant dans cette étude, c’est l’indication que : « Le seuil d’intensité pour stimuler la DMO peut être aussi faible que 40 % d’1 RM, tant que l’effort est adapté ».

Ceci signifie qu’il n’est pas nécessaire de s’exercer jusqu’à des forces épouvantablement élevées pour obtenir des résultats intéressants sur la solidité osseuse.

Des efforts certes significatifs (souvent supérieurs à ceux de la vie de tous les jours) mais très raisonnables et possibles pour une immense partie de la population (à l’exception de certains états de forme ou de santé dégradés) permettent de renforcer le squelette humain.

Conclusion générale

Les médecins et les scientifiques savent de manière certaine depuis plus d’un siècle que l’os est parfaitement vivant et qu’il s’adapte aux contraintes de la vie de tous les jours (loi de Wolff).

Ils savent depuis une cinquantaine d’années que l’os commence à se renforcer dès que l’on dépasse des efforts relativement modestes.

Au cours des dernières années, différents protocoles  ont, en outre, permis de démontrer qu’il était possible d’inverser l’évolution des T-scores.

Cela concerne aussi bien pour les fémurs que la colonne vertébrale.

En quelques mois, il est ainsi possible de regagner plusieurs années de déminéralisation osseuse grâce à des stimulations bien conçues.

Les résultats sont ainsi comparables à ceux que l’on peut obtenir avec certains médicaments contre l’ostéoporose.

Pour obtenir de tels résultats, des efforts accessibles à toute personne en état de forme et de santé correct suffisent.

Le stimulateur vertébral Ostei’Os est ainsi le fruit de toutes ces connaissances, de tous ces savoirs.

Il peut donc permettre aux personnes qui le souhaitent d’améliorer leur T-Score en quelques mois de pratique.

 

Sources :

Pr. Julius Wolff, Das Gesetz der Transformation der Knochen. August Hirschwald, Berlin, 1892

Pr. Harold Frost, The Utah Paradigm of Skeletal Physiology Vol. 1 et Vol. 2, ISMNI, 1960

Morell Sabrina, Prof. Dr méd. Gross Thomas, «L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose», Forum Médical Suisse 2018;18(05):99-104

Steven Watson, LIFTMOR: Lifting Intervention For Training Muscle and Osteoporosis Rehabilitation, Thèse de doctorat, janvier 2019, Brisbane

A Harding et alii, LIFTMOR-M: BONE-TARGETED EXERCISE STRATEGIES TO REDUCE FRACTURE RISK, Journal of Bone and Mineral Research, Vol. 35, No. 8, August 2020, pp 1404–1414.

Souza, D.C., Barbalho, M., Ramírez-Campillo, R., Martins, W.R., & Gentil, P.R. (2020). High and low-load resistance training produce similar effects on bone mineral density of middle-aged and older people: A systematic review with meta-analysis of randomized clinical trials. Experimental Gerontology, 138.

 

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