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Comment j’ai traité mon ostéopénie lombaire (ostéoporose) sans médicament !

Comment j’ai traité mon ostéopénie lombaire (ostéoporose) sans médicament !

L’ostéoporose lombaire (et l’ostéopénie) est une affection affligeante contre laquelle il n’existait pas de traitement satisfaisant jusque récemment.

En effet, la déminéralisation osseuse nous ronge inexorablement tous les ans.

Toutefois, des recherches récentes ont permis de mettre au point des protocoles efficaces.

J’ai essayé ces protocoles et j’ai réussi à améliorer ma densité osseuse vertébrale en un an.

Vous aussi, vous pouvez bénéficier de cet immense progrès et retrouver l’espoir pour vos plus belles années.

Traitement naturel ostéopénie ostéoporose lombaire témoignage guérison

Sommaire

  • Introduction : ostéoporose et ostéopénie lombaires

  • Vidéo : témoignage sur ma lutte contre l’ostéoporose

  • Acte I : Les Ténèbres de l’Ostéoporose et l’Ostéopénie

  • Acte II : L’Espoir renaît avec le stimulateur vertébral Ostei’Os

  • Acte III : Victoire contre l’ostéoporose et l’ostéopénie

  • Acte IV – Une grande réussite à Votre disposition également

  • Conclusion : agissez sagement, agissez maintenant !

  • Sources scientifiques sur l’ostéopénie et l’ostéoporose

Introduction : ostéoporose et ostéopénie lombaires

L’ostéoporose, et sa première phase l’ostéopénie, peuvent nous faire perdre espoir, tant les conséquences peuvent être tragiques et les traitements proposés insatisfaisants.

Si nous sommes touchés par cette maladie silencieuse, qui ronge lentement nos os, nous pouvons ressentir de la vulnérabilité, de la peur voire de l’impuissance.

Cependant, l’histoire réelle que nous allons explorer aujourd’hui va vous rendre l’espoir.

En effet, il s’agit d’une nouvelle confirmation qu’il existe réellement une solution efficace pour reprendre le contrôle de votre santé osseuse.

Vidéo : témoignage sur ma lutte contre l’ostéoporose

Acte I : Les Ténèbres de l’Ostéoporose et l’Ostéopénie

Dans le premier acte de notre récit, nous pénétrons dans les ténèbres de l’ostéoporose.

Les personnes touchées par cette maladie – vous-même, peut-être – redoutent chaque jour qui passe, sachant que leur condition ne fera qu’empirer si aucune action efficace n’est entreprise.

Parce que, comme moi, vous savez que les conséquences de l’ostéoporose sont bien réelles.

Elles vont des fractures affreusement douloureuses aux pertes d’autonomie, à la dépendance, et même à un effondrement de qualité de vie.

Je le sais parfaitement, parce que ma Grand-Mère, toute voûtée sur elle-même pendant des années, a fini par être emportée en 15 jours par une fracture du col du fémur !

Et ce n’est pas un cas isolé.

En France, tous les ans, 400.000 personnes de plus de 50 ans connaissent des fractures dont un tiers sont très graves (col du fémur ou vertèbres) et mettent en jeu la vie des personnes qui en souffrent.

Autrement dit, tous les ans, la moitié d’une génération vit cette expérience tragique.

Aussi, dans un souci personnel de santé durable, j’ai décidé de m’attaquer ardemment à la question.

J’ai d’ailleurs réalisé une ostéodensitométrie… suggérée par des clientes…

En fait, j’étais persuadé que tout le sport que j’avais fait et que je continuais à faire m’avait protégé…

Quelle ne fut pas ma surprise de constater que j’étais moi-même en ostéopénie !

Heureusement, j’avais déjà la solution sous la main.

Acte II : L’Espoir renaît avec le stimulateur vertébral Ostei’Os

En effet, pour ce qui me concerne, je préfère depuis très longtemps la prévention à la guérison (« mieux vaut prévenir que guérir »)…

Je préfère nettement conserver des fonctions corporelles qui fonctionnent durablement bien, plutôt que de bénéficier de « réparations » qui laissent toujours des traces.

Aussi, après avoir consulté des professionnels de santé, lu un maximum de publications scientifiques, appris qu’il existait des pistes efficaces, j’ai mis au point le stimulateur vertébral Ostei’Os.

Parce que les os, c’est comme les muscles : pour les renforcer, il faut les bien nourrir ET les stimuler.

Le stimulateur vertébral Ostei’Os est donc un appareil d’exercice physique.

Il permet ainsi, grâce à un protocole extrêmement précis et sécurisé, de donner le signal du renforcement à la colonne vertébrale.

Je l’ai présenté à des rhumatologues, à des médecins, à des kinésithérapeutes qui m’ont encouragé (je suis bien tombé !).

Et j’ai régulièrement, durablement, semaine après semaine, fait mes séances d’Ostei’Os en sachant que je faisais du bien à mes os, en sachant que j’étais en train d’inverser le cours du destin.

J’avais déjà commencé à utiliser le stimulateur plusieurs mois avant de réaliser ma première ostéodensitométrie.

Je le faisais d’abord pour tester les appareils qui partaient chez les clientes.

Ensuite, je le l’ai fait selon le protocole précis d’utilisation.

Acte III : Victoire contre l’ostéoporose et l’ostéopénie

L’utilisation régulière du stimulateur Ostei’Os a changé ma vie, comme elle a d’ailleurs changé la vie de nombreuses personnes.

Car pour ce qui me concerne, en un an, j’ai repris +0,2 sur mon t-score vertébral.

C’est considérable !

En temps normal, on perd -0,1 à -0,2 sur son t-score tous les ans.

De ce simple fait, on considère généralement qu’une simple stabilisation de la densité osseuse est une belle victoire.

Or, j’ai réussi à très nettement améliorer mon t-score.

Je ne sais pas d’où je suis parti quand j’ai commencé à utiliser le stimulateur, environ 6 mois avant ma première ostéodensitométrie.

Ce que je sais, c’est que par rapport à la situation normale (une baisse de -0,1 à -0,2), mon amélioration représente donc un écart positif de +0,3 à +0,4 sur mon t-score !

C’est donc réellement une très belle réussite.

Et c’est une très belle réussite avec des preuves : vous pouvez voir le récapitulatif de mes deux ostéodensitométries sur l’image qui illustre cet article.

Ce sont les vrais chiffres, entièrement détaillés !

Les examens ont d’ailleurs été faits dans le même cabinet, sur la même machine, et les résultats ont été comparés soigneusement pour déceler et faire corriger les anomalies (surfaces osseuses).

D’où un travail d’une belle qualité.

Bref, en conséquence, je suis ravi.

La perspective de l’ostéoporose qui me guettait d’ici quelques années s’éloigne rapidement.

Je vais ainsi pouvoir continuer à vivre la vie qui me plaît, à cultiver mon autonomie, à développer mes projets (notamment dans la santé durable !).

Je vous en reparlerai… dans d’autres circonstances, si cela vous dit…

Acte IV – Une grande réussite à Votre disposition également

Et cette très belle réussite, elle est également à votre disposition.

Car vous aussi, si vous le voulez vraiment, si vous n’avez pas de facteurs de risques importants, vous pouvez renforcer vos vertèbres lombaires et retrouver le sourire de la confiance retrouvée.

Et les études scientifiques (cf. Australie) ont montré que les résultats sont généralement encore meilleurs chez les femmes qui s’impliquent !

Car l’histoire ne fait que commencer.

En effet, d’autres personnes ont également déjà réussi à vaincre la déminéralisation osseuse.

D’autres personnes ont réussi à améliorer leur densité osseuse en moins d’un an en utilisant le stimulateur vertébral Ostei’Os.

C’est le cas d’Élisabeth et de Marie Nellane, dont vous pouvez retrouver les récits et témoignages en cliquant sur leur prénom.

Je ne suis donc pas un cas isolé, exceptionnel et inexplicable.

Derrière cette série de bons résultats, il y a de la science, de la biologie, de la thérapie physique.

Vous aussi vous pouvez être une héroïne ou un héros de la lutte contre l’ostéoporose.

Ce sont ceux qui luttent contre l’ostéoporose, qui font preuve de résilience et de détermination, qui finissent par vaincre et par vivre.

Utilisé deux fois par semaine, le stimulateur vertébral Ostei’Os a le pouvoir de renverser le cours de l’ostéoporose.

Au fil du temps, vous pourrez constater des résultats impressionnants, regagnant de la densité osseuse et échappant aux terribles conséquences de l’ostéoporose et de l’ostéopénie.

Conclusion : agissez sagement, agissez maintenant !

En fin de compte, cette histoire vraie est un récit réel de transformation, de renouveau, et d’espoir.

Jusqu’à présent, l’ostéoporose pouvait sembler être un voyage sans retour vers la déchéance.

Nous avons maintenant la preuve qu’il n’en est rien.

Nous avons la preuve que des solutions efficaces existent pour prévenir, combattre et traiter cette maladie SANS médicaments.

Avec Ostei’Os, un avenir plus solide et plus sain est à portée de Votre main.

Vous pouvez entamer votre voyage de victoire vers la solidité osseuse dès maintenant.

Vous pouvez retrouver l’espoir dans l’avenir et vivre en toute confiance vos meilleures années.

Il suffit de vous y mettre avec détermination et le bon accompagnement.

Demandez les informations complémentaires dont vous avez besoin en bas de la page.

C’est vous qui décidez !

Dans quelques mois, après quelques heures cumulées de pratique du stimulateur vertébral Ostei’Os, vous aurez retrouvé votre solidité osseuse et une profonde sérénité quant à votre avenir !

Sources scientifiques sur l’ostéopénie et l’ostéoporose :

Morell Sabrina, Gross Thomas, L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose, Forum Médical Suisse 2018;18(05):99-104

Watson SL, Weeks BK, Weis LJ, et al. High-Intensity Resistance and Impact Training Improves Bone Mineral Density and Physical Function in Postmenopausal Women With Osteopenia and Osteoporosis: The LIFTMOR Randomized Controlled Trial. J Bone Miner Res. 2018 Feb;33(2):211-220. Erratum in: J Bone Miner Res. 2019 Mar;34(3):572

Dr Luc LALLEMAND, Ostéporose & Ostéopénie : quand s’inquiéter et comment réagir ? Guide de reminéralisation naturelle (sans médicaments), homNes, 2022, 181 pages

Hélène Joubert – Comment l’activité physique préserve la santé osseuse – Medscape – 8 février 2023.

Hélène Joubert – L’activité physique, même en cas d’ostéoporose ! – Medscape – 14 février 2023

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Les témoignages et avis des utilisatrices Ostei’Os (stimulateur vertébral)

Vous trouverez ci-dessous des avis et témoignages de quelques-une des utilisatrices sur leur stimulateur vertébral Ostei’Os contre l’ostéoporose.

En effet, de nombreuses personnes utilisent déjà le stimulateur vertébral Ostei’Os.
Elles l’utilisent pour prévenir, soigner ou traiter naturellement l’ostéopénie et l’ostéoporose de leur colonne vertébrale (rachis lombaire).

Car le stimulateur vertébral permet de donner aux vertèbres du rachis le signal du renforcement, en toute sécurité, sans médicament.
C’est ce signal naturel qui va ainsi ordonner aux cellules bâtisseuses d’os, les fameux ostéoblastes, de construire de l’os neuf de bonne qualité pour faire des vertèbres plus solides.

En quelques mois, il est possible d’arrêter la déminéralisation osseuse puis de commencer le cycle de reminéralisation.

 

Vous pourrez donc constater qu’après un an d’utilisation, la reminéralisation osseuse est en route et qu’ Élisabeth et Marie sont extrêmement heureuses de leurs bons résultats !

Les bénéfices que les utilisatrices du stimulateur vertébral ressentent sont variés, selon leurs avis, et vont au-delà de la minéralisation osseuse :

  • renforcement musculaire
    • lombaire, abdominaux, épaules, cuisses…
  • plus d’énergie,
  • meilleur équilibre,
  • moral et joie de vivre en hausse…

Avis & témoignages sur le stimulateur vertébral Ostei’Os

Témoignages et avis de Catherine E.

 

Pour en savoir plus sur l’histoire de Catherine, vous pouvez consulter l’article suivant :

Ostéoporose : Comment Catherine a eu le bonheur de se reconstruire des os puissants ?

Témoignages et avis d’ Élisabeth. sur le stimulateur vertébral Ostei’Os

   

Avis & témoignage d’Élisabeth sur le stimulateur vertébral Ostei'Os

Vous pouvez retrouver toute l’histoire d’ Élisabeth en cliquant le lien suivant :

Ostéoporose : Comment Élisabeth améliore réellement son T-Score rachidien !

Bernadette N.

Avis & témoignage de Bernadette sur le stimulateur vertébral Ostei'Os  

Témoignages et avis de Laurence F.

 

Témoignages et avis de Marie M. sur le stimulateur vertébral Ostei’Os

  Avis & témoignage : stimulateur vertébral Ostei'Os

Vous pouvez retrouver toute l’histoire de Marie en cliquant le lien suivant :
 

 

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Ostéoporose & Ostéopénie : choisir les bons objectifs de reminéralisation naturelle pour VOUS

Ostéoporose & Ostéopénie : choisir les bons objectifs de reminéralisation naturelle pour VOUS

En cas d’ostéopénie ou d’ostéoporose, votre objectif de reminéralisation est, au minimum et avant tout, de stabiliser la situation.

Il est parfaitement possible, si vous vous y prenez à temps de faire mieux, et même beaucoup mieux.

Voici comment au travers d’exemple de personnes qui y sont parvenues en un an.

Objectifs de reminéralisation osseuse - Ostéopénie & ostéoporose

Sommaire sur les objectifs de reminéralisation en cas d’ostéopénie ou d’ostéoporose

  • Le choc de l’ostéopénie ou de l’ostéoporose

  • Objectif contre l’ostéoporose : reminéralisation osseuse naturelle !

  • Reminéralisation osseuse naturelle : est-ce adapté pour moi ?

  • Reminéralisation osseuse naturelle : les bons objectifs pour vous

    • Les précautions d’Élisabeth

    • Les doutes de Marie

  • Vos objectifs personnalisés de reminéralisation osseuse

    • Stabiliser votre densité osseuse

    • Remonter légèrement votre densité osseuse

    • Renforcer puissamment votre densité osseuse

  • Choisir ce qui est adapté pour Vous !

  • Conclusion : choisir les bons objectifs de reminéralisation osseuse naturelle

  • Sources sur les objectifs de reminéralisation contre l’ostéopénie et l’ostéoporose

Le choc de l’ostéopénie ou de l’ostéoporose

Ça a été un choc pour vous !

Quand vous aviez appris que votre squelette avait commencé à se déminéraliser.

Quand vous aviez appris que vous étiez atteinte d’ostéopénie ou, pire, d’ostéoporose.

Vous en aviez entendu parler, et, en général, pas en bien…

Une dame de votre entourage avait vécu mille maux, avait souffert de dépendance avancée – voire, même – était décédée de son ostéoporose.

Vous avez même, peut-être, entendu dire que certaines de vos amis avaient été « persécutées » par un professionnel de santé qui leur avait prédit un sort épouvantable.

Pour autant, les médicaments ne vous semblent pas particulièrement attirants.

En effet, de nombreuses utilisatrices (pas toutes heureusement) ressentent des désagréments importants.

D’autres vivent des effets secondaires terrifiants (mais rares) dont on parle beaucoup sur les réseaux sociaux.

Bref, d’une part, vous voulez éviter de terminer grabataire, et vous ne voulez pas détruire votre santé avec des médicaments redoutés.

Objectif contre l’ostéoporose : reminéralisation osseuse naturelle !

Alors, vous vous êtes renseignée sur les solutions qui existent pour la reminéralisation naturelle de la colonne vertébrale.

Toutes sortes de « solutions naturelles » existent, dont certaines vous semblent farfelues, d’autres vous paraissent séduisantes mais manquent de preuves tangibles…

Et vous avez découvert Ostei’Os, pour offrir une joyeuse cure de jeunesse à votre colonne vertébrale.

L’idée vous semble intéressante, le concept valide :

« Les os, c’est comme les muscles : pour les renforcer, il faut les bien nourrir et les stimuler.

Si on les nourrit bien sans les stimuler, on ne fait pas de muscle, on ne fait pas d’os : on fait du gras… ».

Pourtant, on vous a dit qu’il fallait être très prudente… que vous risquiez de vous briser les vertèbres si vous portez des charges trop lourdes…

Et en même temps, vous savez que de nombreuses personnes ont réussi à renforcer leur colonne vertébrale en moins d’un an grâce à l’utilisation du stimulateur vertébral Ostei’Os.

Reminéralisation osseuse naturelle : est-ce adapté pour moi ?

Bref, vous hésitez !

Vous savez qu’il faut faire quelque chose avant les grands soucis.

D’un côté, des perspectives de déchéance effroyables ou des médicaments redoutés.

De l’autre côté, une solution encore peu connue, des témoignages intéressants, et néanmoins des craintes quant à la possibilité, pour vous, d’utiliser Ostei’Os de manière sûre.

Vous aimeriez essayer, mais vous avez des doutes.

Est-ce fait pour vous ?

N’est-ce pas dangereux pour vous ?

Or, vous le savez, la déminéralisation osseuse progresse à la vitesse d’1 à 2 % par an (-0,1 à-0,2 sur le T-Score vertébral), avec une brutale accélération au moment de la ménopause.

Mais vous savez aussi que des personnes ont réussi à arrêter cette déminéralisation osseuse.

Vous savez même que des utilisatrices d’Ostei’Os (notamment Élisabeth et Marie) ont repris de la densité osseuse en moins d’un an.

En effet, vous avez lu leur histoire, vous avez peut-être même vu les messages qu’elles ont postés sur facebook.

Vous savez que leur entourage médical était réticent, leur prédisant même des catastrophes à venir.

Cela peut s’expliquer : tant que l’on n’a pas une connaissance réelle des possibilités de régénération du corps, beaucoup de professionnels de santé, dont les études sont souvent anciennes, restent circonspects.

Pourtant, ils n’ont que très rarement testé les effets pénibles et désagréables de certains traitements sur eux-mêmes…

Qu’en est-il pour vous ?

Vous aimeriez bien faire du bien à vos os, mais arriverez-vous à le faire de manière durable ?

Reminéralisation osseuse naturelle : les bons objectifs pour vous.

Ce qui compte, ce qui est important, c’est que vous menez actuellement une vie qui vous convient le plus souvent, sur le plan physique, notamment.

Votre déminéralisation osseuse ne s’est pas particulièrement manifestée.

Certes, le diagnostic vous inquiète, et vous avez perdu une partie de votre sérénité.

Mais globalement, vous viviez bien jusqu’à présent, et vous souhaitez que ça dure.

Alors, comme vous le savez, il est inutile de vous mettre sous grande pression pour atteindre des résultats intéressants.

Quand on se met sous grande pression, on perd ses moyens, en tout cas une partie d’entre eux.

Les précautions d’Élisabeth

Ainsi, si l’on reprend l’exemple d’Élisabeth, elle avait décidé qu’elle voulait tenter la reminéralisation osseuse naturelle (alors qu’il n’y avait pas de preuve) malgré ses sciatiques récurrentes, malgré ses soucis lombaires.

Elle a avancé, progressivement, en prenant soin d’elle, à sa vitesse.

Elle a pratiqué régulièrement à puissance raisonnable.

Et moins d’un an après, elle avait des résultats.

Moins d’un an après, elle avait commencé à remonter la pente de la densité osseuse.

Les doutes de Marie

Quant à Marie, vous savez qu’elle a magnifiquement inversé sa déminéralisation osseuse.

Vous savez qu’en un an, elle a repris plus de densité osseuse qu’elle n’en avait perdu en 2 ans !

Et pourtant, elle a traversé des périodes de doutes, notamment quand plusieurs professionnels de santé lui ont intimé l’ordre d’arrêter ses exercices.

Malgré cela, en un an, elle a obtenu des résultats qui font réellement envie !

Elle a pris les précautions utiles, elle a avancé, et elle a gagné !

Vos objectifs personnalisés de reminéralisation osseuse

Alors pour vous, il en va de même.

Il s’agit d’adapter les objectifs à vos besoins.

Stabiliser votre densité osseuse

Le simple fait de stabiliser votre densité osseuse est une déjà grande victoire (puisque tous les ans, nous perdons 1 à 2 % de densité osseuse, sans cela) en matière de santé osseuse.

La stabilisation de votre densité osseuse peut se faire en quelques semaines d’utilisation du stimulateur vertébral.

Cette simple stabilisation va vous permettre de faire fortement diminuer vos risques de fractures.

Elle va donc vous permettre de continuer à vivre durablement la vie que vous aimez.

Vous allez en effet conserver toutes vos capacités vertébrales actuelles.

Vous allez pouvoir jouir de votre famille, de vos neveux et petits enfants, de vos amis, de vos activités.

Et vous allez pouvoir en jouir DURABLEMENT !

Remonter légèrement votre densité osseuse

Si, par la suite, vous sentez que vous avez encore de la puissance « sous le pied », que vous pouvez facilement (c’est le cas de presque tout le monde) intensifier les exercices, vous allez vous donner la possibilité d’inverser votre déminéralisation osseuse.

Tout le monde ne réagira pas de la même façon : certaines personnes auront des os plus réactifs que d’autres.

Cela va dépendre de nombreux facteurs, notamment notre âge biologique, le fonctionnement de nos systèmes corporels, le niveau de notre inflammation chronique…

La grande majorité des utilisatrices pourra commencer à renforcer doucement et régulièrement leur densité osseuse.

Renforcer puissamment votre densité osseuse

Pour les personnes qui peuvent et veulent aller encore plus loin, il est possible, comme Marie, de regagner plusieurs années de déminéralisation osseuse.

Marie, en effet, a une densité osseuse très nettement au-dessus de celle qu’elle avait environ 2 ans auparavant.

Cela signifie qu’en une seule année, elle a rattrapé la densité osseuse qu’elle avait environ 3 ans antérieurement.

On peut dire qu’elle a remonté le temps grâce à sa persévérance, grâce à son engagement, grâce à son intelligence à mettre toutes les chances de son côté.

Choisir ce qui est adapté pour Vous !

Bien sûr, tout le monde n’aura pas forcément l’énergie et l’engagement qui a été nécessaire à Marie.

Des contraintes de temps, des risques de douleurs (sciatiques ou arthrose) qui impliquent une grande progressivité, un degré de déminéralisation osseuse avancée, etc… pourront nécessiter des objectifs personnels spécifiques.

Néanmoins, pour l’immense majorité des personnes intéressées, il sera possible d’avoir des résultats très favorables qui leur permettra de continuer à mener une vie gratifiante et de repousser le spectre des horreurs de l’ostéoporose.

Seules des affections très graves (fractures vertébrales, prothèses de hanche, autres affections spécifiques) pourront vous empêcher de bénéficier de tels avantages.

Bien sûr, il convient d’en parler avec vos professionnels de santé, particulièrement vos médecins.

Pour vous, ces précautions prises, l’avenir est plein d’espoir, plein de vie, plein de santé osseuse.

Conclusion : choisir les bons objectifs de reminéralisation osseuse naturelle

Alors oui !

Pour l’immense majorité des femmes, pour vous très vraisemblablement, il est possible de sortir du piège de la déminéralistaion osseuse.

Le choix n’est plus entre la chaise roulante et des médicaments terrifiants.

Vous pouvez décider de prendre en main votre santé osseuse et d’offrir une joyeuse cure de jeunesse à votre colonne vertébrale.

Vous le ferez à votre rythme, à votre intensité, à votre discrétion.

Ce qui est important, pour que renaisse l’espoir, c’est que vous le fassiez, et que vous le fassiez maintenant.

Car chaque année qui passe, chaque mois qui passe représente une aggravation de la déminéralisation, si vous ne faites rien, et donc une diminution de votre densité osseuse, de votre potentiel vital.

En démarrant dès maintenant, vous mettez toutes les chances de votre côté pour continuer à vivre une belle vie pleine de joies, la vie qui vous plaît.

Alors, pour en savoir plus, mettez directement vos coordonnées dans le cadre en bas de la page.

Vous recevrez toutes les informations utiles pour démarrer rapidement votre reminéralisation osseuse naturelle !

Faites de vieux os… bien solides et heureux !

Sources sur les objectifs de reminéralisation contre l’ostéopénie et l’ostéoporose

Le traitement naturel qui a permis à Marie d’inverser son ostéoporose en moins d’un an, 29 mars 2023, Ostei’Os

Ostéoporose : Comment Élisabeth améliore réellement son T-Score rachidien !, 20 février 2023, Ostei’Os

Hélène Joubert – Comment l’activité physique préserve la santé osseuse – Medscape – 8 févr 2023.

Hélène Joubert – L’activité physique, même en cas d’ostéoporose ! – Medscape – 14 févr 2023

Sabrina Morell, Professeur Thomas Gross, «L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose», Forum Médical Suisse, 2018;18(05):99-104.

Dr Luc LALLEMAND, Ostéporose & Ostéopénie : quand s’inquiéter et comment réagir ? Guide de reminéralisation naturelle (sans médicaments), homNes, 2022, 181 pages

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Le traitement naturel qui a permis à Marie d’inverser son ostéoporose en moins d’un an

Le traitement naturel qui a permis à Marie d’inverser son ostéoporose en moins d’un an

Marie Nellane a réussi à inverser sa déminéralisation osseuse ( ostéoporose ) de manière indiscutable en moins d’un an.

Voici donc les péripéties de cette belle aventure couronnée de succès !

Sommaire de l’article

  • Introduction

  • Qui est Marie Nellane ?

  • La découverte de son ostéoporose

  • A la recherche du bon « traitement » pour inverser son ostéoporose

  • Un grand coup au moral

  • Le redéclencheur

  • Et c’est reparti !

  • Le triomphe démontré

  • Conclusion : inverser votre ostéoporose

  • Sources : inverser votre ostéoporose

Traitement naturel pour inverser l'ostéoporose vertébrale (rachis lombaire) - Ostei'Os

Introduction

Marie Nellane est une personne déterminée !

Nous l’appellerons Marie, dans cette histoire vraie.

Elle a décidé de prendre soin d’elle-même, et elle s’en donne les moyens.

Elle a donc décidé d’ inverser son ostéoporose… avec succès !

D’ailleurs, vous allez voir cela.

Qui est Marie Nellane ?

Marie a une petite soixantaine d’années et, en outre, est très en forme.

Elle vit au centre d’une grande ville.

D’ailleurs, elle a l’habitude de faire attention à elle, de se nourrir correctement, de faire de l’exercice régulièrement.

Pourtant, elle n’avait pas prévu ce qui lui est arrivé.

La découverte de son ostéoporose

En effet, il y a deux ans, sa gynécologue lui a suggéré de faire un simple contrôle de densité osseuse.

« Histoire de juste faire le point. Ne vous inquiétez donc pas ».

La gynécologue lui a alors conseillé un rhumatologue disposant de l’appareil d’ostéodensitométrie.

Les personnes qui connaissent la question vont se dire pourtant que c’était peut-être tardif…

En effet, on était près d’une dizaine d’années après la ménopause.

Car nous perdons habituellement 1 à 2 % de densité osseuse tous les ans, avec une brusque accélération au moment de la ménopause.

Mais les assurances sociales ne sont pas très généreuses sur la question de ces examens si importants, hélas.

Ni une, ni deux, Marie a fait réaliser son ostéodensitométrie chez le rhumatologue en question.

Et là… surprise désagréable : Ostéoporose !

T-Score = -3,0 sur les vertèbres lombaires…

Mieux sur les fémurs (T-Score = -2,2).

A la recherche du bon « traitement » pour inverser son ostéoporose

Comme vous le savez, les recommandations médicales officielles sont de traiter par médicament toute densité osseuse à partir d’un T-Score de -3,0.

Il fallait donc prendre une décision.

Marie s’est alors donné le temps de la réflexion.

Elle a d’abord commencé par rechercher de l’information.

Puis, elle a rejoint le groupe « Santé des os » sur facebook.

Des témoignages éclairants lui ainsi ont prouvé qu’il était possible d’inverser sa déminéralisation osseuse.

C’est finalement dans ce groupe facebook qu’elle a appris l’existence du stimulateur vertébral.

Aussi, quand la commercialisation a commencé, elle a immédiatement décidé de se lancer et de tester.

Dès qu’elle l’a reçu, en janvier de l’année dernière, après les explications, elle l’a immédiatement mise en œuvre.

À petite puissance, pour commencer.

Il s’agit d’être prudent, même si les preuves théoriques sont convaincantes.

Puis, l’habitude venant, l’aisance s’installant, elle a augmenté progressivement les puissances.

Bien sûr, il y a eu des moments d’arrêt : pour les vacances, ou une grosse rhinopharyngite, notamment.

Il y a eu un coup de fatigue (particulièrement après la rhinopharyngite) où Marie a diminué ses efforts pendant quelques mois.

Un grand coup au moral

Mais en fait, le plus gros coup au moral a eu lieu 9 mois après ses premiers essais.

Elle avançait bien dans ses exercices, et elle était contente d’elle.

Pour être rassurée, lors d’une visite à sa gynécologue, elle lui a demandé une nouvelle ostéodensitométrie.

La gynécologue lui a expliqué que l’évolution de l’os est trop lente pour voir un changement.

Il fallait attendre au moins 3 ans après la première ostéodensitométrie.

En discutant plus avant, Marie lui a parlé d’Ostei’Os et des bénéfices qu’elle en attendait.

C’est alors que la gynécologue lui a conseillé d’être très prudente : « je crains que faire supporter des charges à vos lombaires ne provoque un tassement, une fracture » !

Le rhumatologue et le médecin traitant étaient du même avis !

Seul l’ostéopathe avait validé le concept du stimulateur vertébral Ostei’Os.

Imaginez la confusion de Marie !

3 professionnels de santé lui conseillaient la plus grande prudence.

Et pourtant, depuis des mois, elle pratiquait la stimulation vertébrale sans souci particulier.

En réfléchissant, elle a fini par comprendre que ses médecins étaient prudents…

Toutefois, ils n’avaient pas de références professionnelles concernant l’exercice physique pour traiter l’ostéoporose.

Le redéclencheur

Alors, Marie a relu l’article du Professeur Gross et de Mme Morell : «L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose» paru dans la revue médicale « Forum Médical Suisse » en 2018.

Ce rhumatologue et cette kiné expliquaient :

  • « La densité osseuse, la force et l’équilibre des patients s’améliorent déjà après une durée d’intervention relativement courte » ;

  • « Chez les femmes post-ménopausées et les patients ostéopéniques ou ostéoporotiques, la densité osseuse peut être significativement améliorée par un programme d’exercice physique spécifique sur mesure » ;

  • « Les exercices devraient être réalisés de la façon la plus intensive possible, en autonomie ou si nécessaire avec un accompagnement physio-thérapeutique. »

C’était vraiment important pour elle, car cela validait toute sa démarche personnelle de lutte contre la déminéralisation osseuse :

  • « Oui, c’est vrai que je dois tenir compte du fait que mes vertèbres se renforcent doucement au fil des séries et que c’est pour cette raison que je peux augmenter doucement et progressivement le poids que je fais peser sur elles. J’avais oublié ça.

  • L’article nous dit : « Les exercices devraient être réalisés de la façon la plus intensive possible, en autonomie ou si nécessaire avec un accompagnement physio-thérapeutique. »

  • Donc je vais reprendre ma progression tranquillement avec un bon moral, bien rassurée et soutenue par vous et le groupe. Merci à tous ».

Et c’est reparti !

Alors, petit à petit, Marie a repris toute l’intensité de ses efforts et a dépassé les puissances initialement atteintes. Il s’agissait de continuer à engranger les bienfaits de la stimulation par la charge sur le rachis.

Au début du mois de mars, Marie indiquait ainsi :

  • « Aujourd’hui est un grand jour pour moi, je viens de faire ma 100e séance d’Ostei’os !Je suis assez contente de moi car j’ai tenu le rythme depuis fin janvier 2022 (à part quand j’ai été malade).

  • Après un coup de mou passager, j’ai repris l’affaire en main ».

L’élan était excellent, mais l’alerte avait été rude…

Le triomphe démontré

Et finalement, le mois de mars se termina par une « apothéose » !

« Une excellente nouvelle !
Je viens de faire ma 2e ostéodensitométrie.
J’ai amélioré ma densité minérale osseuse pour la colonne vertébrale et j’ai freiné la déminéralisation du col du fémur. (Si l’on ne fait rien on perd 1 à 2 % par an, ce qui fait 0,1 à 0,2 de T-score).
En juillet 2021 :

  • Rachis lombaire : T-score : – 3,0
  • Col du fémur : T-score : – 2,2

En mars 2023 (soit 1 an et 8 mois après) :

  • Rachis lombaire : T-score : -2,7 (4 % d’amélioration)
  • Col du fémur : T-score : -2,3

Je n’ai jamais pris de traitement médicamenteux. Je n’ai jamais eu de fracture.
Je fais de la gym avec des poids pas très lourds depuis septembre 2021.
J’utilise le stimulateur vertébral Ostei’os depuis janvier 2022.
Et bien entendu, j’applique tous les conseils de Luc pour l’alimentation, la vitamine D, et tout le reste ».

Bref, objectif « inverser son ostéoporose » =  atteint !

Inverser Ostéoporose - Déminéralisation osseuse

Conclusion : inverser votre ostéoporose

Il y a deux ans, Marie avait un T-Score vertébral de -3,0.

1 an et 8 mois plus tard, si Marie n’avait rien fait, son T-Score vertébral aurait dû être entre -3,2 et -3,3.

Or après l’utilisation régulière du stimulateur vertébral, son T-Score est remonté à -2,7.

Le gain par rapport à la précédente ostéodensitométrie est de +0,3 sur le T-Score.

Le gain théorique par rapport à la dérive normale est de +0,5 sur le T-Score (au minimum).

Marie est extrêmement satisfaite, vous vous en doutez !

« Oui Luc, je suis ravie de mes résultats obtenus par un effort régulier et aussi surtout par votre soutien constant, vos conseils avisés, votre écoute bienveillante. Un grand merci à vous.

Dans deux ans je ne serai plus dans la zone d’ostéoporose, seulement en ostéopénie, c’est mon objectif, j’y vais tranquillement, régulièrement, sagement mais sûrement ».

Félicitations à elle pour cette belle réussite !

Grâce à sa persévérance, grâce à la confiance qu’elle s’est faite, grâce à son envie d’avancer, elle a très nettement progressé : elle est en train de vaincre son ostéoporose !

Vous aussi, vous pouvez bénéficier de cette magnifique avancée scientifique : la reminéralisation osseuse naturelle SANS médicament.

Bien sûr, demandez conseil à votre médecin ou un professionnel de santé compétent.

Pour en savoir plus, vous pouvez choisir de laisser vos coordonnées ci-dessous dans le cadre (votre prénom et votre adresse de messagerie – e-mail).

Faites de vieux os… bien solides et heureux !

Sources : inverser votre ostéoporose

Messages, entretiens avec Marie Nelanne en 2022-2023

Sabrina Morell, Professeur Thomas Gross, «L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose», Forum Médical Suisse, 2018;18(05):99-104.

Dr Luc LALLEMAND, Ostéporose & Ostéopénie : quand s’inquiéter et comment réagir ? Guide de reminéralisation naturelle (sans médicaments), homNes, 2022, 181 pages

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T-Score & Z-Score du rachis lombaire et vertébral : comment les améliorer sans médicament ?

T-Score & Z-Score du rachis lombaire et vertébral : comment les améliorer sans médicament ?

Vous allez voir comment il est possible de renforcer votre colonne vertébrale en quelques mois, et ainsi d’améliorer efficacement votre T-Score et votre Z-Score du rachis lombaire sans médicament.

C’est d’ailleurs ce qu’Élisabeth a réussi à obtenir en moins d’un an.

Sommaire

Introduction : comment renforcer votre rachis

La déminéralisation osseuse et les T-Score et Z-Score

Renforcer le rachis et améliorer les T-Score vertébral et le Z-Score lombaire

Des preuves dans la littérature médicale

Des preuves par les expériences médicales

Comment procéder pour améliorer son T-Score lombaire ou son Z-Score vertébral (rachis) ?

La flexion en charge

Le soulevé de poids

Risques et limites pour la sécurité du rachis

Le stimulateur vertébral

Conclusion : Renforcer vos T-Score & Z-Score du rachis (lombaire et vertébral)

Sources sur le T-Score, le Z-Score, le rachis lombaire et vertébral

Renforcez votre rachis lombaire et rehaussez vos T-Score & Z-Score vertébral 

Introduction : comment renforcer votre rachis

Si vous consultez cet article, c’est que vous êtes déjà très renseignée !

Et en plus, c’est parce que vous voulez vraiment :

  • vous investir dans votre santé osseuse,
  • vous y intéresser personnellement pour améliorer la situation.

En effet, très peu de personnes connaissent le terme « T-Score », et encore moins le terme « Z-Score ».

Si vous voulez en savoir plus sur ces termes, vous pouvez aller voir cet article avant de continuer.

La déminéralisation osseuse et les T-Score et Z-Score

Donc, félicitations !

Car je ne vous apprendrai pas que la déminéralisation osseuse commence vers la trentaine.

Elle se développe à une vitesse d’1 ou 2 % par an, avec une brusque accélération à la ménopause.

Aussi, au bout d’une trentaine d’années, cela fait une diminution très importante de la densité osseuse.

Les os, les vertèbres, tous le rachis sont plus fragiles et menacent, rapidement ou à moyen terme, de se briser.

Dans les situations graves, les fractures peuvent se produire simplement en toussant!

Et tout cela a des conséquences terribles sous forme de douleurs, de dépendance, d’invalidité, voire pire…

Renforcer le rachis et améliorer les T-Score vertébral et le Z-Score lombaire

Si vous lisez ces lignes, c’est que vous êtes une personne en recherche active de solution efficace pour améliorer votre T-Score vertébral et donc votre Z-Score au rachis lombaire.

Vous êtes au bon endroit !

Des preuves dans la littérature médicale

Les experts savaient depuis très longtemps qu’il est possible de renforcer les os jusqu’à des âges très avancés…

Plus de 90 ans selon le Dr. Bassey !

Pendant plus d’un siècle, ces connaissances sont restées théoriques.

Ce n’est que récemment que la pratique efficace a émergé.

En effet, comme vous le savez sans doute déjà, des expériences ont été menées dans différents pays.
Il s’agissait d’améliorer la santé osseuse des femmes par l’exercice physique.

De telles expériences ont eu lieu aux États-Unis, en Suisse, en Australie.

La littérature médicale a récemment commencé à s’enrichir des comptes-rendus convaincants.
Ils montrent que « Chez les femmes post-ménopausées et les patients ostéopéniques ou ostéoporotiques, la densité osseuse peut être significativement améliorée par un programme d’exercice physique spécifique sur mesure ».

C’est ce qu’ont écrit le Professeur Gross (rhumatologue) et Mme Morell (kinésithérapeute) dans leur article de 2018 : « L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose ».

Vous pouvez d’ailleurs consulter cet article vous-même.
Il est simple d’accès, facile à lire et donne d’excellents conseils aux professionnels de santé…
Et il est très accessible également aux patientes.

Des preuves par les expériences médicales

Ce n’est pas qu’une vue théorique.

Des expériences ont été réalisées en Australie au cours des 10 dernières années.
Elles ont porté sur des groupes significatifs de femmes en ostéopénie et en ostéoporose.
Elles ont démontré des résultats très positifs.

Ainsi, en 8 mois, un groupe d’une cinquantaine de femmes a réussi à améliorer son T-score vertébral de +0,3 points, avec des pointes à +0,6 points.

Pendant ce temps-là, un groupe de contrôle continuait à se déminéraliser de +0,12 points de T-score au rachis.

La différence était majeure : en quelques mois, les femmes intelligemment actives ont regagné plusieurs années de déminéralisation osseuse en moyenne.

Autrement, pour les unes, l’ostéoporose s’aggravait, alors que les autres remontraient rapidement vers l’ostéopénie.

La démonstration est donc faite, les preuves sont réellement disponibles.
Vous pouvez, vous aussi, renforcer votre rachis, améliorer votre Z-Score lombaire et votre T-Score vertébral.

Il suffit d’adopter les bons outils et les bons protocoles.

En effet, seules des stimulations spécifiques peuvent avoir un impact réel et positif sur la colonne vertébrale.

En outre, il convient que le protocole soit non seulement efficace, mais également parfaitement sûr.

Il serait totalement contre-productif de se blesser en réalisant imparfaitement des exercices destinés à améliorer sans santé vertébrale.

Aussi convient-il d’adapter votre activité physique en fonction de vos capacités personnelles et de votre état de santé.

Vous avez d’ailleurs tout intérêt à demander conseil à un professionnel de santé compétent, et notamment votre médecin.

Comment procéder pour améliorer son T-Score lombaire ou son Z-Score vertébral (rachis) ?

Alors, question importante, comment procéder ?

Comment est-il possible, de renforcer sont T-Score vertébral, d’améliorer son Z-Score du rachis lombaire ?

Pour répondre à cette question, on peut analyser de manière très fine les expériences qui ont bien fonctionné.

En Suisse, le Pr Gross recommande des activités à impacts, et des activités en charge.

Les études LiftMor, en Australie, ont mis en œuvre les exercices suivants :

  • sauts à impacts,
  • soulevés de poids,
  • flexions en charge
  • et soulevés militaires.

En Australie, une machine américaine spécifique a été testée.
Elle offre quatre fonctionnalités différentes :

  • presse à cuisse,
  • presse pectorale,
  • soulevé de poids,
  • renforcement des abdominaux.

En fait, tous les exercices n’ont pas le même impact sur chaque type d’os.

Pour le rachis, la colonne vertébrale, plusieurs études médicales ont montré « que c’est avant tout la charge relativement intensive qui est décisive ».

Parmi tous ces exercices, pour améliorer le T-Score (et le Z-Score) vertébral et lombaire, ce sont donc le soulevé de poids ou les flexions en charge qui ont un réel effet positif.

La pratique de ces exercices nécessite des précautions.

La flexion en charge

Le premier exercice est la flexion en charge.

C’est en effet une forme d’exercice pouvant avoir une influence positive sur les T-Score et Z-Score du rachis.

Il s’agit de poser sur les épaules une barre chargée.

Ensuite, la personne effectuera avec ces poids sur les épaules quelques flexions avec les jambes.

Ce sont les cuisses qui font l’essentiel de l’effort.

La charge posée sur les épaules met la colonne vertébrale en pression.

La pression sur le rachis donne le signal du renforcement des Z-Score et T-Score.

La grosse difficulté de cet exercice est de monter la charge au niveau des épaules.

Pour que l’exercice soit efficace, il faut des charges suffisantes difficiles à monter à hauteur.

De ce fait, outre la barre et les haltères, il est nécessaire d’avoir un portique permettant de les placer à la bonne hauteur.

Autant dire que ce genre d’exercice se fait surtout en salle de sport.

Il vaut mieux un accompagnement compétent pour démarrer la pratique.

Le soulevé de poids

Passons au soulevé de poids.

Le soulevé de poids consiste en effet à saisir avec les mains une barre chargée au sol pour l’amener au niveau du bassin en se redressant.

Les bras ne font pas d’effort : ce sont les cuisses qui soulèvent la charge quand la personne se relève.

La colonne vertébrale est mise en compression entre le bassin et les épaules qui soutiennent la charge par les bras.

Un tel exercice nécessite de se baisser sur ses genoux et de se pencher en avant en respectant des mesures strictes en matière de gainage des muscles et de bonne position vertébrale.

Le mouvement implique une hyperlordose (un cambrement) importante au moment d’arracher l’haltère du sol.

En outre, c’est un mouvement dynamique.

C’est un exercice qui nécessite un très bon accompagnement par un moniteur d’haltérophilie pour les personnes en parfaite santé.

Et malgré cela, beaucoup de pratiquants endommagent leur rachis (spondylosisthésis).

En cas de déminéralisation osseuse importante, des précautions supplémentaires sont à prendre.

Peu de moniteurs les maîtrisent réellement, même s’il est possible d’en trouver.

Enfin, c’est un exercice qui nécessite tout un jeu de poids pour charger progressivement les haltères.

Au final, c’est un exercice difficile à pratiquer chez soi.

Risques et limites pour la sécurité du rachis

Pour beaucoup de personnes, les solutions précédentes sont difficiles à mettre en œuvre.

Il n’y a pas forcément de salles de sport près de chez soi.

La quasi-totalité des salles n’ont pas de moniteur maîtrisant les précautions à prendre en cas de déminéralisation osseuse.

Il n’est pas forcément agréable d’avoir à ressortir le soir, deux fois par semaine, pour aller faire quelques exercices.

Une solution pourrait être de se faire accompagner par un kinésithérapeute.

Ce serait un excellent moyen de démarrer, de maîtriser les bonnes positions avec un professionnel de santé compétent.

Toutefois, si les prescriptions de séances sont possibles, elles sont limitées dans le temps.

En outre, les médecins n’ont pas l’habitude d’envoyer leurs patients chez un kinésithérapeute améliorer leur T-Score et Z-Score du rachis.

Enfin, les assurances sociales n’ont pas prévu de cotation spécifique dans leur nomenclature…

Le stimulateur vertébral

C’est pour cela qu’Ostei’Os a mis au point le stimulateur vertébral.

Les expériences internationales mentionnées précédemment ont servi de point de départ.

Ensuite, il s’agissait de supprimer les principales limitations des soulevés de poids et des flexions en charge.

Ainsi, le stimulateur vertébral Ostei’Os va vous permettre :

  • de renforcer efficacement votre colonne vertébrale,

    • et donc d’améliorer votre T-Score et votre T-Score du rachis lombaire,

  • de le faire en toute sûreté grâce à des protocoles validés, minutieusement mis au point,

  • de vous transmettre ces protocoles par des vidéos de formation,

  • de pratiquer chez vous quand vous le souhaiterez..

    • car le stimulateur est repliable et se glisse facilement sous un meuble.

En outre, tout en renforçant votre rachis, vous allez également

  • améliorer votre équilibre,

  • renforcer les organes de vos articulations,

  • stimuler votre santé générale,

  • faire circuler les molécules de la bonne humeur dans votre corps et votre cerveau.

À raison de 2 séances de 15 à 20 mn par semaine, vous aurez une très belle surprise en moins d’un an, quand vous referez une nouvelle ostéodensitométrie.

C’est d’ailleurs ce que vécu Élisabeth après moins d’un an d’utilisation du stimulateur vertébral.
Elle a été très satisfaite de l’évolution de ses T-Score et Z-Score du rachis lombaire.

Conclusion : Renforcer vos T-Score & Z-Score du rachis (lombaire et vertébral)

Des recherches récentes ont abouti à mettre au point des protocoles et des appareils permettant d’arrêter et d’inverser la déminéralisation osseuse.

Pour les personnes qui s’intéressent réellement à leur santé osseuse, c’est donc un immense espoir.

Comme Élisabeth, vous allez pouvoir échapper au cruel dilemme invalidité fracturaire / médicaments.

Une nouvelle voie efficace s’est ouverte tout récemment.

Vous êtes parmi les premières à l’apprendre, car vous êtes à la recherche des informations qui font réellement la différence pour vous.

D’ici quelques jours, vous avez la possibilité d’améliorer vos T-Score et Z-Score du rachis.

Dans quelques semaines, vous pourrez constater l’impact positif du stimulateur sur votre énergie.

Après un an environ, vous pourrez bénéficier d’une inversion de votre déminéralisation vertébrale.

Dans les années qui vont suivre, vous pourrez alors conserver un excellent niveau d’autonomie.
Vous pourrez ainsi continuer à mener la vie que vous aimez sans arrière-pensées.

Vous allez vous libérer de la peur de bouger.

Vous allez de nouveau apprécier pleinement la vie et jouir de toutes ses promesses.

C’est maintenant qu’il faut vous y mettre !

Alors, pour recevoir des informations complémentaires, des témoignages d’utilisatrices, vous pouvez laisser votre adresse (e-mail) ci-dessous

Et vous pourrez faire de vieux os… et de vieux os bien solides et heureux !

Sources sur le T-Score, le Z-Score, le rachis lombaire et vertébral

Hélène Joubert – Comment l’activité physique préserve la santé osseuse – Medscape – 8 févr 2023.

Hélène Joubert – L’activité physique, même en cas d’ostéoporose ! – Medscape – 14 févr 2023

Luc LALLEMAND, Ostéoporose & Ostéopénie : quand s’inquiéter et comment réagir – Guide de reminéralisation naturelle, 2022, 181 pages

Morell Sabrina, Gross Thomas, L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose, Forum Med Suisse 2018;18(05):99-104

Steven L Watson, Benjamin K Weeks, Lisa J Weis, Amy T Harding, Sean A Horan, Belinda R Beck, High‐Intensity Resistance and Impact Training Improves Bone Mineral Density and Physical Function in Postmenopausal Women With Osteopenia and Osteoporosis: The LIFTMOR Randomized Controlled Trial, Journal of Bone and Mineral Research, Volume33, Issue2, février 2018, Pages 211-220

Bassey, Joan E., “Exercise for prevention of osteoporotic fracture.” 2001. Age and Ageing. 30-S4: 29-31.

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Ostéoporose : Comment Élisabeth améliore réellement son T-Score rachidien !

Ostéoporose : Comment Élisabeth améliore réellement son T-Score rachidien !

C’est l’histoire d’Élisabeth : en moins d’un an, elle a réussi à arrêter sa déminéralisation vertébrale.

Atteinte d’ostéoporose, elle a décidé d’utiliser un stimulateur vertébral Ostei’Os.

Et ça marche !

Voici donc son histoire.

Améliorer son T-Score vertébral (rachis lombaire) - Ostéoporose

Sommaire

Ostéoporose aux fémurs et aux vertèbres : les causes

La découverte de l’ostéopénie rachidienne et fémorale

L’ostéoporose du rachis et des fémurs

Prendre personnellement les choses en main

La décision salvatrice

La progression en toute prudence

Une pause dans l’effort !

Le couronnement des efforts

Conclusion

Sources des informations :

Ostéoporose aux fémurs et aux vertèbres : les causes

Élisabeth est atteinte d’ostéoporose depuis quelques années.

Cela concerne aussi bien ses fémurs que sa colonne vertébrale.

Rien encore de très avancé, mais une progression régulière, ou plutôt une aggravation régulière.

Il faut dire qu’Élisabeth habite dans une grande agglomération.

Et qu’elle a un travail très prenant, en particulier certaines parties de l’année, et très sédentaire.

En outre, Élisabeth est très mince : un petit poids.

Or, notre ossature est « prévue » pour soutenir notre poids et faire face aux contraintes de notre vie de tous les jours.

Il n’est donc pas très étonnant qu’Élisabeth ait un squelette à la dimension de sa morphologie.

Et, avec la soixantaine approchant, la déminéralisation a déjà eu le temps de faire son chemin.

La découverte de l’ostéopénie rachidienne et fémorale

Heureusement, elle est vigilante.

Élisabeth savait qu’elle avait des risques du côté de sa colonne vertébrale.

Aussi, elle avait réussi à se faire faire une ordonnance pour une ostéodensitométrie, voici 5 ans.

Parfois, c’est un vrai combat pour l’obtenir car les assurances ne sont pas très généreuses sur la question…

A l’époque, elle était encore en ostéopénie.

Rien de vraiment préoccupant, pour la plupart des experts.

Néanmoins, si on lui avait expliqué, à l’époque, que la déminéralisation était en évolution permanente, elle aurait pu se demander comment l’éviter.

En outre, si on lui avait dit que la déminéralisation osseuse pouvait être ralentie et même inversée, elle aurait pu prendre les mesures adéquates.

Mais à l’époque, on n’en savait à peu près rien.

L’ostéoporose du rachis et des fémurs

Il y a deux ans (trois ans après la première), elle obtient une nouvelle ostéodensitométrie.

Un simple contrôle, me direz-vous.

Simplement dans le but de savoir si les choses ont évolué, ou si elles sont stabilisées.

Et là, Élisabeth a découvert avec stupeur qu’elle était passée en ostéoporose.

Elle avait franchi le cap qui marche le passage de la mer de l’ostéopénie à l’océan de l’ostéoporose.

On pourrait (presque) dire le cap de mauvaise espérance…

Alors, la perspective des médicaments contre l’ostéoporose a été évoquée devant elle.

Or, elle n’en voulait pas !

Prendre personnellement les choses en main

Élisabeth a décidé de prendre les choses en main.

Elle a alors cherché de l’information sur toutes les possibilités qui existaient pour inverser la déminéralisation osseuse.

Compte tenu de ses T-Scores, elle voulait le faire aussi bien pour les fémurs que pour la colonne vertébrale (rachis lombaire).

Elle a vérifié que son alimentation était satisfaisante, qu’elle lui apportait tous les nutriments indispensables.

Elle a fait les petits ajustements nécessaires.

Puis, Elisabteth s’est remise à l’exercice physique :

  • Marche rapide : qui stimule les poignets, grâce aux bâtons de marche.

  • Trampoline : qui stimule les fémurs, et ralentit leur déminéralisation.

Restait la question des vertèbres.

En effet, on sait depuis quelques années que les impacts sont insuffisants pour stimuler la colonne vertébrale.

C’est ce qu’elle a découvert elle-même en cherchant de l’information dans le groupe facebook consacré à la santé osseuse.

La décision salvatrice

Alors, elle a décidé d’être une des premières à essayer le stimulateur vertébral Ostei’Os.

Et grand bien lui en a pris, comme nous allons le voir bientôt !

Mais il fallait être prudente.

En effet, suite à un accident, elle avait une colonne vertébrale qu’elle estimait fragile.

En outre, elle était sujette à de très grosses sciatiques récurrentes.

Enfin, elle avait des douleurs aux genoux !

Luc Lallemand, le fondateur d’Ostei’Os a tenté de la dissuader !

Il ne voulait pas faire prendre de risques à ses clientes potentielles. Car l’appareil n’avait pas encore été testé à grande échelle.

Mais c’est Élisabeth qui avait raison !

La progression en toute prudence

Car Élisabeth était décidée : elle voulait absolument essayer.

Les preuves scientifiques étaient là, en effet.

C’était LA solution qui allait lui permettre d’éviter un traitement contre l’ostéoporose à base de médicaments.

Au mois de mars de l’année dernière, Élisabeth a commencé à utiliser son Ostei’Os.

2 fois par semaine, environ 1/4 d’heure, elle a pratiqué ses exercices.

Le mardi et le samedi, en général (il peut y avoir des exceptions, bien sûr).

Au début, elle y allait tout doucement.

Il s’agissait de s’habituer, de vérifier comment son dos allait réagir, sentir s’il n’y aurait pas de douleurs intempestives et de mauvais augure…

Elle a donc démarré à une petite puissance, pour commencer.

Au bout de 6 semaines, au mois d’avril de l’année dernière, tout se passait parfaitement bien.

Elle avait donc augmenté progressivement la charge, et elle espérait encore progresser.

À la fin du mois de mai, elle avait dépassé le seuil d’efficacité des exercices.

C’est là que la reminéralisation osseuse commençait réellement.

Élisabeth avait pris tout ce temps pour être certaine que tout se passait bien, que tout se passerait bien.

Une pause dans l’effort !

Au mois de juillet, elle a fait une grande pause pendant les vacances.

Elle ne pouvait pas emporter son Ostei’Os avec elle compte tenu du lieu où elle allait.

Si elle avait pu, elle l’aurait fait, bien sûr : l’appareil est facile à plier, facile à ranger.

Mais là, c’était trop compliqué.

Dès le retour des vacances, elle a repris les exercices avec assiduité et en sécurité.

À cet effet, elle a appliqué les mesures de reprise après un arrêt.

Les champions redémarrent doucement après les pauses, et cela s’applique aussi aux championnes de la reminéralisation osseuse !

Élisabeth s’est ensuite donné deux semaines pour rattraper le niveau qu’elle avait avant de partir en vacances.

Une vraie réussite supplémentaire, dans cette histoire de succès (au pluriel bien sûr).

Le couronnement des efforts

Eu au mois de janvier dernier, Élisabeth a fait une nouvelle ostéodensitométrie.

Et là, enfin, elle a eu une très bonne surprise.

Elle s’y attendait d’ailleurs, mais on n’est jamais tout à fait sûr des bonnes choses.

On pourrait être si déçue, si on attendait trop et qu’on obtenait moins.

Jugez plutôt : elle en parle elle-même.

« Je souhaite partager avec vous une bonne nouvelle(…).

…et en fevrier dernier, j ai pu acheter un ostei os. Depuis cette date, je pratique 2 fois par semaine, j ai augmente les charges tres progressivement, pour raison de sante. Bref, le resultat de samedi est bien meilleur que celui de 2020 (…)

J ajoute que depuis que j utilise l appareil, je suis moins sujette aux maux de dos, et que mes genoux me font moins souffrir. Merci a vous Luc, et courage a tout le monde, ca en vaut la peine ! »

Conclusion

Voilà !

Élisabeth est en train de vaincre son ostéoporose.

Encouragée comme elle l’est par ses premiers résultats, nul doute qu’elle va continuer à stimuler son rachis et ses fémurs tout au long de l’année.

Elle va pouvoir encore améliorer la situation.

Et nous ne manquerons pas de vous tenir informées de ses évolutions et des suites de cette belle aventure.

Alors si vous aussi vous souhaitez :

  • reminéraliser votre colonne vertébrale,

  • améliorer le T-Score de votre rachis lombaire,

  • arrêter et inverser la déminéralisation osseuse de votre épine dorsale,

  • inverser votre ostéopénie ou votre ostéoporose…

de manière naturelle, et sans médicaments !

Alors intéressez-vous au stimulateur vertébral Ostei’Os !

Lancez-vous dans l’aventure pour raconter, parmi les premières, comment vous avez vaincu – naturellement – cette maladie.

Laissez votre adresse de messagerie (email) dans le cadre ci-dessous.

Et faites de vieux os… bien solides et heureux !

Sources des informations :

  • Messages postés sur Facebook, échanges de messages électroniques, ostéodensitométrie, échanges téléphoniques

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Comment trouver une excellente prise en charge de l’ostéopénie vertébrale ?

Comment trouver une excellente prise en charge de l’ostéopénie vertébrale ?

Résumé sur la prise en charge de l’ostéopénie

Trouver une bonne prise en charge de l’ostéopénie est primordial pour arrêter l’évolution vers l’ostéoporose et ses tragédies.

Des experts de l’os ont mis au point des méthodes naturelles, sans médicaments, pour renforcer nos os.

Voici comment réaliser une excellente prise en charge de l’ostéopénie vertébrale, de manière naturelle, sans médicaments !

Sommaire

Vidéo

Résumé sur la prise en charge de l’ostéopénie

Introduction sur la prise en charge de l’ostéopénie

L’ostéopénie, de quoi s’agit-il ?

La prise en charge efficace de l’ostéopénie

Prise en charge nutritionnelle de l’ostéopénie

Prise en charge physique de l’ostéopénie

Des stimulations efficaces
La prise en charge LiftMor de l’ostéopénie en Australie

La prise en charge à domicile de l’ostéopénie vertébrale

Haltérophilie

Stimulateur vertébral

Conclusion sur la prise en charge de l’ostéopénie vertébrale

Sources sur la prise en charge de l’ostéopénie vertébrale

Introduction sur la prise en charge de l’ostéopénie

Votre ostéodensitométrie vous annonce que vous avez de l’ostéopénie vertébrale.

De ce fait, vous vous interrogez sur la meilleure prise en charge efficace.

Vous avez compris qu’il s’agit de déminéralisation osseuse, une étape provisoire avant l’ostéoporose.

Et tout cela ne vous semble rien annoncer de très favorable à une retraite longue et heureuse…

En effet, dans notre esprit, l’ostéoporose recèle souvent tout un purgatoire de douleurs et d’invalidités…

Voire – même – un enfer définitif…

Nous allons voir que, si cette croyance est largement répandue, elle est parfaitement fausse.

Elle fait partie des légendes modernes que la science récente a efficacement battu en brèche.

Nous allons voir que la prise en charge efficace de l’ostéopénie vertébrale est à votre portée.

Et qu’en outre, elle peut se fait dans la joie et la bonne humeur !

Prise en charge de l'ostéopénie - Ostei'Os

L’ostéopénie, de quoi s’agit-il ?

Une ostéopénie se découvre suite à un examen médical appelé ostéodensitométrie.

Il s’agit de comparer la densité de vos os à celui que vous aviez à trente ans environ.

C’était l’âge où vos os, votre colonne vertébrale étaient à leur maximum de solidité.

Par la suite, la densité osseuse décroît lentement, sur des dizaines d’années…

Avec une accélération brusque au moment de la ménopause.

Vers la soixantaine, cela aboutit souvent à une ostéoporose bien nette, et bien préoccupante.

Entre-temps, on passe par une étape de déminéralisation osseuse intermédiaire : l’ostéopénie.

L’ostéopénie correspond à une perte de 10 à 25 % de la masse osseuse par rapport à la moyenne des femmes de 30 ans.

La question que vous vous posez, alors, bien légitimement, est :

  • s’agit-il de la porte d’entrée de l’ostéoporose et de toutes les tragédies qui y sont liées ?

Êtes-vous condamnée au corset pour maintenir votre colonne vertébrale après 70 ans ou aux médicaments qui transforment les os et les pétrifient ?

La perspective fait froid dans le dos !

Et ce d’autant plus que votre entourage va faire une grimace en apprenant la nouvelle et que votre médecin vous renverra souvent avec quelques bonnes paroles et sur le courage qu’il faut pour affronter la vieillesse…

Pour la prise en charge de votre ostéopénie, il vous conseillera de la vitamine D, du calcium, parfois des protéines, et de temps en temps de la marche.

Sans vous garantir quoi que ce soit, pour autant…

Heureusement, en continuant à lire ces lignes, vous allez comprendre que l’ostéopénie peut être une excellente nouvelle.

Ce peut être, en effet, l’occasion pour vous de prendre les choses en main, d’arrêter et d’inverser la déminéralisation osseuse.

La prise en charge efficace de l’ostéopénie

En effet, on sait depuis très longtemps que les os sont vivants, et qu’ils s’adaptent aux contraintes de la vie courante.

Des hôpitaux ont mis au point – au cours des dernières années – des protocoles efficaces qui permettent de reminéraliser les os.

Vous pouvez vous-même réaliser une excellente prise en charge de votre ostéopénie, y compris vertébrale.

Pour cela, il s’agit de nourrir vos os, et il s’agit de les stimuler.

Prise en charge nutritionnelle de l’ostéopénie

Nos os ont besoin d’une quantité innombrable de nutriments pour se porter bien.

Un bon régime alimentaire, bien pensé, de type méditerranéen, par exemple, peut apporter tout ce qui est nécessaire, sauf la vitamine D.

Il faut simplement veiller à vérifier les quantités journalières de calcium, de protéines, de magnésium et de vitamine C…

Même ces nutriments peuvent être apportés par ce type d’alimentation.

Et il y a plein d’avantages supplémentaires, à cette alimentation méditerranéenne.

Les saveurs sont délicieuses et innombrables, ouvrant la porte à une gastronomie saine et gourmande.

En outre, l’alimentation méditerranéenne a été testée dans d’innombrables protocoles nutritionnels, et elle a démontré sa supériorité pour nous protéger d’un grand nombre de maladies du vieillissement (santé cardiovasculaire, immunitaire, nerveuse…).

Bref, sauf cas particulier, bien nourrir ses os est une question simple et relativement facile à régler…

Prise en charge physique de l’ostéopénie

Des stimulations efficaces

Nos os ont besoin de stimulations pour se renforcer.

Parce que les os, c’est comme les muscles : pour les renforcer, il faut les bien nourrir et les stimuler.

Si on les nourrit bien sans les stimuler, on ne fait pas de muscle, on ne fait pas d’os : on fait du gras…

Et nos vertèbres sont également concernées.

Il est important de les stimuler spécifiquement.

En effet, les exercices couramment efficaces pour les fémurs ou les poignets ne donnent pas de résultats sur la colonne vertébrale.

Pour la colonne vertébrale, il n’y a que la charge qui fonctionne bien.

Ainsi, une bonne prise en charge de l’ostéopénie vertébrale implique de soumettre le rachis à des pressions.

Ces pressions doivent être parfaitement adaptées à la personne qui va en bénéficier.

Il convient ainsi qu’elles soient :

  • suffisante pour être efficaces et donner le signal du renforcement,

  • raisonnable pour que l’exercice soit réalisé en toute sécurité.

La prise en charge LiftMor de l’ostéopénie en Australie

Des recherches récentes ont montré que c’était parfaitement possible et que les résultats étaient très intéressants.

Ainsi, des femmes en ostéopénie et même en ostéoporose ont bénéficié d’une prise en charge efficace en Australie entre 2017 et 2021.

Ce sont les célèbres études LiftMor réalisées à l’université de Brisbane.

Elles sont permis de reminéraliser la colonne vertébrale des participantes de 3% en moyenne.

Cela équivaut à une amélioration du T-Score de +0,3 points en moins d’un an.

Vous voyez que c’est considérable.

Au pire, les participantes stabilisaient leur densité osseuse, alors que les personnes du groupe contrôle qui continuaient à vivre normalement continuaient à perdre 1 à 2 % de densité minérale.

Et les patientes qui avaient le meilleur résultat arrivaient à gagner 6 % de densité osseuse.

Il s’agit alors d’une amélioration de +0,6 points de leur T-Score, en 8 mois.

Les exercices réalisés pour la colonne vertébrale consistaient en des « soulevés de terre », un exercice assez technique inspiré de l’haltérophilie.

La prise en charge à domicile de l’ostéopénie vertébrale

Haltérophilie

Il est maintenant possible de réaliser des exercices comparables à ceux de LiftMor, chez vous, aux heures qui vous conviennent.

La première solution consiste à vous équiper d’une barre d’haltérophilie et de disques multiples.

Il vous faudra trouver un entraîneur pour vous guider.

En effet, le mouvement est très technique, impliquant des portes-à-faux risqués à réussir et un passage des genoux délicat à pratiquer.

Il y a une autre solution beaucoup plus aisée, plus efficace et plus sûre de stimuler votre rachis.

Stimulateur vertébral

Mais vous pouvez aussi réaliser la prise en charge de votre ostéopénie avec un stimulateur vertébral.

C’est un appareil qui a été spécifiquement conçu pour inverser la déminéralisation osseuse à domicile.

Il permet en effet :

  • de réaliser le mouvement sélectionné par LiftMor dans sa zone de plus grande efficacité,

  • de choisir une position de confort maximal pendant tout l’exercice, y compris pour des personnes souffrant des genoux,

  • de piloter soi-même l’exercice à la puissance exacte permettant la stimulation optimale,

  • d’interrompre en un instant l’exercice pour quelque raison que ce soit, entraînant une sécurité absolue,

  • de renforcer progressivement tous les organes impliqués dans l’exercice (vertèbres, muscles, tendons, autres os, et notamment fémurs à partir d’un seuil suffisant de puissance…),

  • de respecter les articulations grâce aux possibilités de réglage individualisé…

En outre, il est possible d’utiliser le stimulateur pour renforcer ses poignets de manière très simple.

Enfin, cet appareil occupe très peu de place : il est repliable et vous pouvez le glisser sous un lit ou sous une armoire.

Bref, la prise en charge de l’ostéopénie vertébrale chez soi a trouvé SA solution efficace et sûre.

Grâce aux modes d’emploi vidéo et à la conférence vidéo de prise en main faite avec chaque utilisatrice individuellement, il n’y a plus que des bonnes raisons de se lancer !

Conclusion sur la prise en charge de l’ostéopénie vertébrale

Les perspectives de l’évolution de l’ostéopénie vertébrale ont été révolutionnées en 2022.

Il est maintenant possible pour toute personne qui souhaite prendre en main sa santé osseuse de le faire dans les meilleures conditions.

Ainsi, si vous êtes concernée, il s’agit

  • d’une part d’apporter à votre squelette les nutriments qui lui manquent : ils sont peu nombreux, dans la plupart des cas ;

  • d’autre part de stimuler votre colonne vertébrale de manière progressive, intelligente et sûre.

En quelques mois, vous avez la possibilité d’arrêter la déminéralisation osseuse de manière efficace et même de l’inverser, sans médicaments.

Ainsi, les perspectives d’une élévation en âge en préservant une grande autonomie, sa joie de vivre votre et de profiter de la vie sont réellement à votre portée.

Vous pouvez décider dès aujourd’hui de vaincre la déminéralisation osseuse et de faire de vieux os… bien solides et heureux !

Et pour en savoir plus, laissez votre adresse de messagerie en bas de l’article.

Vous recevrez les dernières informations concernant la reminéralisation osseuse naturelle par la stimulation intelligente.

Sources sur la prise en charge de l’ostéopénie vertébrale

Dr. Luc LALLEMAND, Ostéoporose & Ostéopénie : Quand s’inquiéter et comment agir en 2022: Guide de reminéralisation naturelle, HomNes, Deuxième édition (2022), 181 pages.

MORELL Sabrina, GROSS Thomas, L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose, Forum Med Suisse 2018;18(05):99-104.

Steven L Watson, Benjamin K Weeks, Lisa J Weis, Amy T Harding, Sean A Horan, Belinda R Beck, High‐Intensity Resistance and Impact Training Improves Bone Mineral Density and Physical Function in Postmenopausal Women With Osteopenia and Osteoporosis: The LIFTMOR Randomized Controlled Trial, Journal of Bone and Mineral Research, Volume33, Issue2, février 2018, Pages 211-220

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Quels exercices pour renforcer vos vertèbres lombaires à la maison ?

Quels exercices pour renforcer vos vertèbres lombaires à la maison ?

Comment pratiquer des exercices lombaires à la maison efficacement et en toute sécurité pour renforcer vos muscles ainsi que votre rachis.

Car, c’est vrai, la musculation de la ceinture abdominale et des lombaires est importante.

Mais, le renforcement des os de la colonne vertébrale est majeure, en particulier pour les femmes.

Voici comment faire, en toute sécurité et en toute efficacité.

Les vertèbres lombaires : oubliées lors des exercices à la maison

Si vous cherchez à renforcer votre dos à la maison, les spécialistes vous parleront souvent des exercices qui permettent de renforcer les muscles lombaires.

Ces exercices pour lombaires sont bien connus, nombreux et peuvent souvent être mis en œuvre chez vous, à la maison, de manière simple.

Toutefois, ils convient d’être prudent, car certains types d’exercice, s’ils ne sont pas parfaitement exécutés, peuvent entraîner des risques de blessure parfois très graves.

En particulier, dans le cas de porte-à-faux importants pour le dos.

Ces risques concernent plus particulièrement la colonne vertébrale.

Car notre colonne vertébrale est soumise à rude épreuve.
Elle peut alors fort mal supporter certaines positions et certains types d’efforts, notamment quand on prend de l’âge.

Pourtant, si on s’y prend bien, il est possible de renforcer la colonne vertébrale elle-même.

Il est donc important, parallèlement au renforcement musculaire de renforcer les os de la zone lombaire quand on fait de l’exercice, à la maison ou ailleurs.

Pour beaucoup de personnes, l’idée qu’il est possible de renforcer ses vertèbres est contre-intuitive.

En effet, pour beaucoup d’entre nous, nos os, nos vertèbres sont inertes, des sortes de « cailloux » ou de « roches » internes extrêmement solides, sauf exception.

Nous allons donc voir qu’il n’en est rien.

Et nous allons aussi voir le type d’exercice qui permet, en toute sécurité, de renforcer nos vertèbres, notamment du côté lombaire, à la maison.

Exercice pour lombaire à la maison

Des exercices totalement déconseillés pour les lombaires à la maison

Parmi toutes les formes d’exercices qui existent, certaines sont beaucoup plus à risque que d’autres.

En effet, elles peuvent entraîner des blessures beaucoup trop fréquemment.

Ces blessures concernent très souvent la colonne vertébrale, et donc les vertèbres.

Ainsi, par exemple, les traditionnels « abdominaux » (crunch) sont réputés pour être dangereux pour le cou et les vertèbres cervicales.

Certains exercices pour renforcer les muscles lombaires, dont certains peuvent se faire à la maison, posent d’autres problèmes.

C’est le cas, particulièrement, des exercices de chaise romaine en extension.

Lors de cet exercice, on pratique un grand porte-à-faux du buste dans le vide, du haut d’une table. Dans cet exercice, le bassin et l’ensemble des jambes sont posés face avant sur une table et le tronc pend vers le bas. Il s’agit de relever le tronc le plus près possible de l’horizontale.

Si on est très en forme, cela se passe souvent bien, mais pas toujours.

Par contre, si l’on a un dos fragile, si les disques intervertébraux sont sensibles, si les vertèbres sont déminéralisées, les pressions asymétriques engendrées entraînent très souvent des blessures, voire des fractures.

En effet, les exercices en porte-à-faux entraînent des forces transversales de cisaillement très intenses.

Ce cisaillement est beaucoup plus dangereux pour le dos et la colonne vertébrale que la compression pour des intensités comparables.

Bref, ce ne sont pas des exercices anodins et à recommander pour renforcer les lombaires à la maison.

Exercices possibles pour renforcer les lombaires à la maison en sécurité

Les planches, idéalement sur les 4 faces, sont des exercices beaucoup plus sûrs et beaucoup plus progressifs pour renforcer les lombaires à la maison.

Sur les 4 faces, car il est – le plus vent – possible de les pratiquer :

1) le ventre face au sol (sur les coudes ou les mains, et sur la pointe des pieds ou les genoux),

2) le dos face au sol (sur les coudes en arrière et sur les talons, ou sur le haut du dos, les genoux pliés vers l’arrière),

3) et 4) les flancs face au sol (sur un coude et la tranche des pieds ou sur un coude et un genou, les jambes pliées vers l’arrière).

On peut les tenir pendant quelques secondes et jusqu’à plusieurs dizaines de secondes.

Il est possible de commencer par des positions faciles à tenir, puis passer à des positions plus exigeantes.
On pourra même réaliser les mouvements en bougeant, voire en ajoutant des charges progressivement et doucement.

Bref, ce sont des exercices adaptables aux capacités spécifiques de tout un chacun (ou presque).

Pour des personnes particulièrement déminéralisées, même certaines de ces positions peuvent présenter des risques…

Toutefois, ces exercices s’ils renforcent les muscles lombaires, ont un impact relativement limité sur les vertèbres.

Il est pourtant important de s’en occuper !

Les os sont vivants

Comme on le sait chez les experts des os depuis environ 150 ans, les os sont vivants.

Ils comprennent des tissus minéraux et des tissus organiques qui sont fabriqués et entretenus par des cellules osseuses spécialisées.

Nos os se renouvellent en permanence grâce à des réactions biologiques regroupées sous le nom de « remodelage osseux ».

Pendant le remodelage osseux, certaines cellules détruisent l’ancien os pour laisser de la place pour la construction d’os neuf par d’autres cellules.

En une dizaine d’années, le remodelage osseux est complet, et nos os sont entièrement renouvelés.

Ils ne sont pas forcément renouvelés à l’identique.

En effet, nos os s’adaptent en permanence aux contraintes courantes qu’ils subissent.

Si les contraintes sont faibles, la reconstruction sera moins solide que l’os initial.

Si les contraintes sont plus intenses, certaines cellules osseuses spécialisées le sentiront.

Elles enverront des signaux pour reconstruire un os plus épais, plus solide, plus résistant.

La déminéralisation osseuse nous ronge insidieusement

Dans notre vie courante, où nous sommes de plus en plus sédentaires, les contraintes ne sont pas si fréquentes que cela.

Nos os ne reçoivent pas beaucoup de signaux de renforcement.

Petit à petit, ils vont se renouveler de moins en moins solidement.

Et si en outre, nous avons quelques déficits alimentaires en nutriments indispensables à l’os, la situation ne va pas s’arranger.

Au bout de quelques années, la déminéralisation osseuse va s’installer.

À partir de 30-35 ans, nous allons commencer à perdre une partie de notre potentiel osseux.

Tous les ans, nous allons perdre 1 à 2 % de notre densité osseuse.

Et, pour les femmes, il y aura une brusque accélération au moment de la ménopause.

Tout cela aboutira à de l’ostéopénie, puis de l’ostéoporose vers 60-70 ans, et même souvent à partir de 50 ans, voire avant dans des cas spécifiques.

Or l’ostéoporose n’est pas une maladie anodine.

Indolore très longtemps, elle se révèle brutalement par des fractures.

Ces fractures peuvent être extrêmement douloureuses, entraîner des invalidités temporaires voire définitives, pourrir la vie des patientes et de leur entourage…

Certaines fractures particulièrement graves (col du fémur, vertèbres) entraînent même des décès dans 20 % des cas dans l’année qui suit.

Bref, cela n’a rien d’anodin.

Halte à la déminéralisation osseuse !

Pour autant, il est tout à fait possible d’arrêter l’évolution et même de l’inverser, si on s’y prend bien.

Il est parfaitement possible de renforcer notre squelette de manière naturelle jusqu’à plus de 90 ans tant qu’il est encore suffisamment solide.

Pour arriver à ce bon résultat, il faut nourrir et stimuler les os.

Parce que les os, c’est comme les muscles : pour les renforcer, il faut les bien nourrir et les stimuler.

Si on les nourrit bien sans les stimuler, on ne fait pas de muscle, on ne fait pas d’os : on fait du gras…

Tout cela nécessite de l’intelligence et de la bonne stratégie.

Et tout cela, y compris l’exercice pour renforcer la zone lombaire peut être réalisé chez soi, à domicile, à la maison.

Exercices pour renforcer les vertèbres lombaires

Les exercices qui renforcent les vertèbres lombaires à la maison ou ailleurs, nécessitent de mettre en charge la colonne vertébrale.

Différents types d’exercices sont adaptés pour cela.

Exercice d’haltères pour le rachis lombaire (à la maison, éventuellement)

L’exercice le plus ancien fait partie de la famille de l’haltérophilie.

C’est le soulevé de poids.

Il s’agit de saisir avec les poignets une barre posée devant ses pieds.

Il s’agit ensuite de la soulever du sol, de se relever, et d’amener la barre, bras tendus, à hauteur des cuisses.

C’est un exercice simple à comprendre, très difficile à réaliser correctement pour préserver la zone lombaire.

En effet, les positions qu’implique le soulevé de poids sont très risquées pour le dos.

La saisie de la barre au sol nécessite de se pencher fortement vers l’avant, impliquant des risques de porte-à-faux dangereux pour le dos.

En outre, la dynamique du mouvement et le passage des genoux compliquent considérablement l’exécution du mouvement en toute sécurité.

Il vaut mieux effectuer ce type d’exercice, du moins au début, avec un encadrement très compétent.

Ce n’est donc pas un type d’exercice que l’on peut facilement pratiquer à la maison pour renforcer les vertèbres du côté lombaire.

Exercice lombaire de flexion guidée (pas à la maison, en général)

Un autre type d’exercice envisageable pour les vertèbres lombaires nécessite un portique de musculation ; or ce type de portique n’est pas fréquent à la maison…

Il s’agit d’un portique permettant de réaliser des flexions guidées.

Les flexions guidées consistent à effectuer des flexions des membres inférieurs avec poids sur les épaules, les poids étant guidés verticalement par les montants du portique.

L’utilisateur chargé va effectuer des mouvements vers le haut et vers le bas en étant guidé par le portique. Ainsi, il garde une position bien verticale.

On trouve ce type de portique pour effectuer des exercices lombaires dans les salles de musculation, même s’il en existe que l’on peut utiliser à la maison.

Pour le faire, il convient de s’y connaître parfaitement pour utiliser les bonnes charges sur les épaules et se placer parfaitement sous le portique afin de garder une position sûre pour le dos.

Exercice de stimulation vertébrale lombaire à la maison

Une autre possibilité qui existe est de mettre en œuvre un stimulateur vertébral.

C’est un appareil conçu à partir des enseignements d’expériences menées dans des hôpitaux en Suisse, Australie et États-Unis.

Cet appareil permet ainsi de réaliser la phase finale d’un soulevé de poids avec des charges adaptées à l’état de forme et de santé de chacun.

Alors, il est possible de faire des exercices spécifiques pour les vertèbres lombaires, à la maison, avec une position de sécurité parfaite, un confort d’exécution bien étudié et une excellente garantie de résultats.

Des expériences menées à l’étranger ont montré, en effet, que des exercices comparables permettaient d’améliorer la densité osseuse.
C’est possible en quelques mois, y compris sur des personnes déjà déminéralisées.

Conclusion sur l’exercice pour renforcer la zone lombaire à domicile.

Renforcer son corps pour le rendre durablement plus solide et plus puissant est une excellente idée.

Il s’agit de le faire de manière efficace, plaisante et en toute sécurité.

Au-delà des muscles, il est très important de stimuler intelligemment notre squelette pour lui donner, à lui aussi, le signal du renforcement.

Nos vertèbres lombaires ont besoin d’exercices spécifiques pour se renforcer à domicile.

Il existe quelques solutions envisageables en théorie.

En pratique, le stimulateur vertébral est une excellente solution pour les exercices lombaires pour la colonne vertébrale à domicile.

En outre, ce type d’exercices contribue également à entretenir nos disques intervertébraux, à renforcer notre musculature et à diminuer les douleurs dorsales.

Que demander de mieux ?

Pour en savoir plus sur la stimulation vertébrale naturelle, vous pouvez laisser vos coordonnées dans la fenêtre en bas de l’article.

Faites de vieux os… bien solides et heureux !

Sources sur l’exercice physique pour les vertèbres lombaires à domicile.

Morell Sabrina, Gross Thomas, L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose, Forum Med Suisse 2018;18(05):99-104

Steven L Watson, Benjamin K Weeks, Lisa J Weis, Amy T Harding, Sean A Horan, Belinda R Beck. High‐Intensity Resistance and Impact Training Improves Bone Mineral Density and Physical Function in Postmenopausal Women With Osteopenia and Osteoporosis: The LIFTMOR Randomized Controlled Trial. Journal of Bone and Mineral Research, Volume33, Issue2, février 2018, Pages 211-220

ZIANE, Rachid, Steeve CHIAPOLINI, and Guillaume LAFFAYE. « Courbures lombaires et cervicale, si on arrêtait les erreurs?. », 2015

Axler CT, McGill SM. Low back loads over a variety of abdominal exercises: searching for the safest abdominal challenge. Med Sci Sports Exerc. 1997 Jun;29(6):804-11.

AKUTHOTA, Venu et NADLER, Scott F. Core strengthening. Archives of physical medicine and rehabilitation, 2004, vol. 85, no 3 Suppl 1, p. S86-S92.

LEE, Melody, HUNTOON, Elizabeth A., et SINAKI, Mehrsheed. Soft tissue and bony injuries attributed to the practice of yoga: A biomechanical analysis and implications for management. In : Mayo Clinic Proceedings. Elsevier, 2019. p. 424-431.

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Ostéoporose & Ostéopénie : les preuves d’efficacité d’Ostei’Os sur le rachis lombaire

Quelles sont les preuves ?

Vous avez entendu parler du stimulateur vertébral Ostei’Os.

Vous savez qu’il promet une reminéralisation osseuse en moins d’un an.

Mais, à juste raison, vous vous demandez si c’est réel, si c’est exact.

Vous craignez d’acheter un appareil inutile.

Vous voulez avoir la conviction que le stimulateur vertébral est efficace.

Il y a deux façons de répondre à votre question légitime.

La première, est d’écouter les témoignages des utilisatrices.

La seconde est d’apporter des arguments scientifiques.

Nous aborderons la question des témoignages dans un autre article.

Pour ce qui concerne les arguments scientifiques, vous les trouverez ci-dessous.

La loi de Wolff

Le professeur Wolff

La loi de Wolff sur les os - Ostei'Os
Pr. Julius WOLFF (1836-1902)

Le professeur Julius Wolff était un médecin berlinois à la fin du XIX° siècle.

Bref, un Prussien…

On pourrait dire que ça commence mal, sauf qu’il n’a jamais fait de mal aux francophones en général et à la France en particulier.

Mieux, il exerçait à l’hôpital de « La Charité » (en français), un hôpital berlinois fondé par des huguenots français.

Et l’hôpital de « La Charité » est un excellent hôpital, le meilleur en Allemagne, peut-être.

Julius Wolff est né en Prusse, en 1836, dans une petite ville devenue polonaise.

Il est devenu médecin en 1860.

Après quelques années, il a fondé la première chaire d’orthopédie de l’hôpital de « La Charité » et la première clinique orthopédique de Berlin.

Autant dire que c’était un pionnier et une référence dans son domaine.

Il est décédé en 1902 d’une attaque cardiovasculaire.

« La loi de transformation des os »

La Loi de la Transformation de l'Os - Pr. WolffMais en 1892, il avait pris le temps de publier un livre : « Das Gesetz der Transformation der Knochen », ce qui signifie en français : « La loi de la transformation des os ».

Ce livre est un classique de l’orthopédie médicale.

Pour la première fois, dans l’histoire de l’humanité, on y établissait les règles de l’évolution des os sous l’effet de l’âge, de la nutrition et des stimulations.

Le plus extraordinaire est que cette loi a été découverte par la seule observation, et sans expérimentation.

Ce livre de 150 pages contient une théorie parfaitement décrite et très bien documentée de ce que nous appelons maintenant la « loi de Wolff ».

Par la suite, des observations plus fines et des recherches menées sur l’évolution de la structure osseuse ont permis de confirmer cette « loi de Wolff ».

La loi de Wolff traite de nombreuses questions concernant l’évolution de la structure osseuse.

Ce qui nous intéresse particulièrement, c’est qu’elle indique que :

  • « la structure et la forme de l’os s’adaptent en permanence aux contraintes qu’il subit ».

Le « Mécanostat » du Pr. Harold Frost

Le Professeur Frost

Le professeur Harold Frost était un professeur américain qui a, lui aussi, énormément travaillé sur l’os.

Né en 1921, médecin en 1945, le docteur Frost a d’abord été chirurgien.

Ensuite, il s’est intéressé à l’orthopédie, la science médicale qui s’occupe de corriger les déformations des articulations et du squelette.

Ensuite, il s’est intéressé à la biologie de l’os de manière très intense : il a notamment fondé un laboratoire de recherche orthopédique à Détroit, dans le Michigan.

Au cours de sa carrière, il a publié environ 500 articles scientifiques et 16 livres sur la question.

C’est lui qui, avec son équipe, a étudié de manière extrêmement précise le fonctionnement biologique de l’os et les réactions biochimiques qui le permettent.

Il a donc confirmé les observations faites par le Professeur Julius Wolff, au siècle précédent.

Et grâce à son expertise, il a proposé un modèle expliquant la croissance et la décroissance de l’os en fonction des contraintes appliquées.

Le « Mécanostat »

Ce modèle s’appelle le « Mécanostat ».

Le Mécanostat - Pr. Harold Frost

Selon la théorie du « Mécanostat », la croissance et la perte osseuses sont stimulées par les déformations locales, élastiques suite aux contraintes qui s’exercent sur l’os.

Cette adaptation fonctionne pendant toute la vie de l’os, et donc jusqu’à des âges très avancés.

La masse osseuse, la géométrie osseuse, la résistance osseuse s’adaptent à l’utilisation et aux besoins quotidiens.

De ce fait, l’ampleur des forces, la charge supportée par l’os est un déterminant extrêmement important de l’évolution du squelette.

Les études du Professeur Frost ont confirmé que les impacts stimulaient la croissance osseuse.

Toutefois, l’os réagit beaucoup plus à des séries de charges séparées par 10 secondes de repos qu’à des vibrations de 10 charges successives appliquées en 10 secondes.

Les domaines de stimulation de l’os

Le Professeur Frost a défini 4 domaines progressifs de déformation de l’os avec des conséquences différentes :

  • Déficit de stimulation,

  • Utilisation adaptée,

  • Supplément de stimulation,

  • Fracture.

Déficit de stimulation :

Si la pression est insuffisante, le remodelage osseux se fait avec un excès de résorption osseuse, conduisant à une perte de masse et de solidité de l’os.

Utilisation adaptée :

Si la pression est adaptée, le remodelage osseux se fait de manière équilibrée, c’est-à-dire que la résorption osseuse est compensée par la formation d’os neuf.

Supplément de stimulation :

En cas de supplément de stimulation, le modelage osseux se fait : la formation d’os neuf est supérieure à la résorption osseuse.

Fracture :

La limite de résistance de l’os, très supérieure en temps normal aux pressions adaptées, est dépassée entraînant une fracture.

Pour un tibia, la limite de résistance est typiquement de 50 à 60 fois le poids corporel, pour une personne en bonne santé.

Ce qui est profondément intéressant, c’est que le Professeur Frost a montré que pour briser un os (tibia ou fémur, par exemple), il fallait des charges 5 à 7 fois supérieures à celles dont il a l’habitude, dans la vie de tous les jours.

Des os de très bonne solidité

Bien sûr, la structure osseuse dépend également d’autres facteurs : disponibilité du calcium, statut hormonal, âge, alimentation, sexe, maladies, produits pharmaceutiques…

Le Professeur Frost a également montré que la théorie du « Mécanostat » s’appliquait aussi aux tissus conjonctifs comme les tendons, les ligaments et les fascia.

En conclusion, ce qu’il est important de retenir, c’est que dès que l’on dépasse les pressions habituelles auxquelles sont utilisés nos os, ils se mettent à fabriquer de l’os neuf, plus massif et plus solide. En temps normal, la plage de stimulation possible est extrêmement large, et elle ne se réduit que si la déminéralisation est très avancée.

«L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose»

C’est le titre d’un article parue dans la presse professionnelle médicale suisse « Le Forum Médical Suisse » en 2018 en français.

Il a été écrit par une kinésithérapeute, Sabrina Morell et un Professeur de Rhumatologie, le Dr Thomas Gross.

Tous deux travaillaient, à l’époque, à l’hôpital cantonal d’Aarau en Argovie, au Nord de la Suisse germanophone.

Cet hôpital menait des recherches pour mieux prendre en charge les personnes touchées par l’ostéoporose et la déminéralisation osseuse.

Dans le cadre de ces travaux, dès 2014, Mme Morell a rédigé des recommandations en allemand destinées aux personnels de santé spécialisés pour leur décrire les programmes qui permettaient de stimuler le renforcement osseux.

Ces recommandations s’appuyaient sur une longue liste d’études réalisées dans différents pays sur l’impact de l’exercice physique sur l’ostéoporose.

Par la suite, l’hôpital d’Aarau a développé ses études dans les domaines en question.

Tout cela a abouti à la publication d’une synthèse des connaissances des spécialistes de l’hôpital d’Aarau en début d’année 2018.

Deux versions ont été publiées simultanément : l’une en allemand, l’autre en français.

C’est un article passionnant, comme vous allez le voir.

Dès le début de l’article, les auteurs indiquent que : « dans la prévention et le traitement de l’ostéoporose, l’influence potentielle de l’activité physique est le plus souvent occultée ».

Pourtant, « l’observance vis-à-vis des exercices physiques pour l’amélioration de la densité osseuse est nettement supérieure à celle vis-à-vis de la prise de médicaments anti-ostéoporotiques ».

Les auteurs distinguent trois catégories de patients :

  1. femmes post-ménopausées (sans densité osseuse pathologique);

  2. patients ostéopéniques/ostéoporotiques (encore relativement en forme);

  3. les patients ostéoporotiques âgés (état général réduit, par ex. anamnèse de chute positive).

Femmes post-ménopausées (sans densité osseuse pathologique)

Pour ces personnes, « l’objectif est ici de stabiliser voire d’améliorer la densité osseuse ».

A cet effet, il convient de combiner des exercices à impacts élevés avec des exercices à impacts modérés et la musculation d’intensité croissante.

« Les travaux indiquent majoritairement que c’est avant tout la charge relativement intensive qui est décisive pour l’action sur les os ».

Ensuite, l’article ajoute : « Un tel programme sur 8 mois a par ex. permis, chez les femmes âgées, d’améliorer la densité osseuse de 2,8% au niveau du col du fémur ».

Or 2,8 % correspondent à environ 2 années de déminéralisation osseuse au rythme habituel. En 8 mois, il est donc possible de rattraper deux années de perte osseuse courante !

Ces taux sont comparables à ce que l’on peut obtenir grâce à certains médicaments.

Il faut noter au passage que l’exercice physique permet de fabriquer de l’os neuf de très bonne qualité, ce qui n’est pas le cas de tous les médicaments : certains d’entre eux entraînent certes un renforcement, mais au prix d’une rigidification significative.

En outre, ces exercices entraînent une amélioration très nette de l’équilibre des patientes et une stabilité de l’état des cartilages, y compris chez des personnes présentant une forme légère d’arthrose.

Patients ostéopéniques/ostéoporotiques (encore relativement en forme)

Dans ce groupe de patients, « la densité osseuse peut être influencée positivement par l’exercice physique ».

Les exercices à pratiquer sont exactement les mêmes que ceux pratiqués par le groupe précédent : exercices à impacts élevés combinés avec des exercices à impacts modérés et musculation d’intensité croissante.

L’article précise : « Les premières hausses significatives de la densité osseuse à la TDMqp étaient déjà visibles après 4 mois, aussi bien au niveau du col du fémur que du rachis lombaire ».

Patients ostéoporotiques âgés (état général réduit, par ex. anamnèse de chute positive)

Avec ces personnes, des précautions doivent être prises : « Pour ce groupe à risque, l’attention principale doit donc être portée sur la prophylaxie des chutes, typiquement au moyen d’un entraînement spécifique avec exercices d’équilibre et de proprioception et développement de la force musculaire ».

Les exercices à réaliser pour cette population plus fragile sont alors :

  • des exercices fonctionnels faciles à exécuter au quotidien pour améliorer l’équilibre,
  • des exercices en vibration,
  • des exercices dans l’eau chaude pour les personnes souffrant de douleurs spécifiques (ces exercices sont moins efficaces que les mêmes exécutés au sec, donc en charge).

Conclusion de l’article suisse

Dans sa conclusion, l’article dit explicitement : « La promotion active des exercices physiques dans le cadre d’une ostéoporose confirmée ou bien pour sa prévention semble, d’après l’état actuel des connaissances médico-scientifiques, être une part essentielle de la mission de traitement ».

Enfin, la synthèse commence par indiquer que : « • Chez les femmes post-ménopausées et les patients ostéopéniques ou ostéoporotiques, la densité osseuse peut être significativement améliorée par un programme d’exercice physique spécifique sur mesure ».

En outre, « La densité osseuse, la force et l’équilibre des patients s’améliorent déjà après une durée d’intervention relativement courte ».

Les études LIFTMOR en Australie

L’équipe d’étude

Le projet LIFTMOR est un projet australien visant à étudier de manière détaillée l’impact d’exercices physiques spécifiques sur la santé osseuse.

En fait, LIFTMOR est une abréviation qui signifie approximativement : « Intervention en charge pour l’entraînement musculaire et l’amélioration de l’ostéoporose ».

Cette étude a été menée sous la direction du Professeur Belinda Beck et du Dr Benjamin Weeks, de l’université médicale de Griffith, sur la côte Est de l’Australie, à proximité de la ville de Brisbane.

C’est le Dr Steven Watson qui a piloté l’ensemble des études qui lui ont permis de préparer son doctorat. Il a d’ailleurs soutenu son doctorat grâce à l’ensemble des nouvelles connaissances acquises lors des études LIFTMOR.

Les protocoles d’exercices

Dans un premier temps, il s’agissait de définir un programme d’activités physiques permettant à des personnes atteintes d’ostéoporose d’améliorer leur santé osseuse, leur forme physique et de diminuer les risques de fracture.

Le programme LIFTMOR a comparé une intervention de 8 mois comprenant deux groupes de patients.

D’un côté, le premier groupe de patients menait des activités de faible intensité à domicile.

De l’autre côté, le deuxième groupe de patients réalisait deux fois par semaine 30 minutes d’exercices relativement intenses.

Les exercices réalisés par le deuxième groupe se faisaient à 85 % de la puissance maximale de chaque personne en 5 séries de 5 répétitions.

les exercices LIFTMOR contre l'ostéoporose - Ostei'Os Ces exercices consistaient en :

  1. flexions guidées (flexion des membres inférieures en tenant une charge glissant verticalement sur des rails pour stimuler la colonne vertébrale) ;
  2. sauts à impacts (sauter le plus haut possible pour retomber sur ses pieds en équilibre pour stimuler les fémurs),
  3. soulevé militaire (soulever au-dessus de la tête des haltères pour stimuler les poignets),
  4. soulevé de poids (prendre une charge au sol pour l’amener à hauteur du bassin pour stimuler la colonne vertébrale).

Ces exercices étaient réalisés sous supervision d’un kinésithérapeute (thérapeute physique).

Des résultats spectaculaires

Au final, les résultats ont été spectaculaires, comparés aux résultats du groupe faisant des exercices de faible intensité !

En effet, le groupe féminin de contrôle continuait à perdre plus de 1 % de masse osseuse en 8 mois en moyenne (-1,2 % ± 2,8 %) sur la colonne vertébrale.

Pendant ce temps, le groupe très actif reprenait près de 3 % de masse osseuse (+ 2,9 % ± 2,8 %).

Pour les fémurs, les résultats étaient également intéressants.

Le groupe très actif remontait légèrement sa densité osseuse en moyenne (+0,3 % ± 2,6 %) alors que le groupe de contrôle se déminéralisait rapidement (-1,9 % ± 2,6 %).

Conclusion de l’étude LIFTMOR

Ainsi, le Docteur Watson concluait que les exercices proposés par LIFTMOR avaient permis d’améliorer :

  • la densité osseuse aux fémurs et à la colonne vertébrale,
  • la courbure de la colonne vertébrale,
  • le plaisir de pratiquer des exercices et la qualité de la vie

des participants par rapport au groupe de contrôle.

Finalement, le Docteur Watson terminait en indiquant que de tels exercices constituent la base d’un programme efficace, sûr et plaisant pour traiter l’ostéoporose chez les femmes après la ménopause.

L’étude documentaire brésilienne de 2020

Pour conclure, il est important de citer une étude réalisée par une équipe brésilienne de kinésithérapeutes en 2020. Elle a fait l’objet d’une publication dans le journal scientifique « Gérontologie expérimentale » (Experimental Gerontology).

Cette étude est ce que l’on appelle une méta-analyse. C’est-à-dire qu’il s’agit de rassembler toutes les études de bonne qualité sur une question pour en faire la synthèse et en tirer des enseignements généraux applicables de manière plus large que chaque étude individuelle.

Ce qui est passionnant dans cette étude, c’est l’indication que : « Le seuil d’intensité pour stimuler la DMO peut être aussi faible que 40 % d’1 RM, tant que l’effort est adapté ».

Ceci signifie qu’il n’est pas nécessaire de s’exercer jusqu’à des forces épouvantablement élevées pour obtenir des résultats intéressants sur la solidité osseuse.

Des efforts certes significatifs (souvent supérieurs à ceux de la vie de tous les jours) mais très raisonnables et possibles pour une immense partie de la population (à l’exception de certains états de forme ou de santé dégradés) permettent de renforcer le squelette humain.

Conclusion générale

Les médecins et les scientifiques savent de manière certaine depuis plus d’un siècle que l’os est parfaitement vivant et qu’il s’adapte aux contraintes de la vie de tous les jours (loi de Wolff).

Ils savent depuis une cinquantaine d’années que l’os commence à se renforcer dès que l’on dépasse des efforts relativement modestes.

Au cours des dernières années, différents protocoles  ont, en outre, permis de démontrer qu’il était possible d’inverser l’évolution des T-scores.

Cela concerne aussi bien pour les fémurs que la colonne vertébrale.

En quelques mois, il est ainsi possible de regagner plusieurs années de déminéralisation osseuse grâce à des stimulations bien conçues.

Les résultats sont ainsi comparables à ceux que l’on peut obtenir avec certains médicaments contre l’ostéoporose.

Pour obtenir de tels résultats, des efforts accessibles à toute personne en état de forme et de santé correct suffisent.

Le stimulateur vertébral Ostei’Os est ainsi le fruit de toutes ces connaissances, de tous ces savoirs.

Il peut donc permettre aux personnes qui le souhaitent d’améliorer leur T-Score en quelques mois de pratique.

 

Sources :

Pr. Julius Wolff, Das Gesetz der Transformation der Knochen. August Hirschwald, Berlin, 1892

Pr. Harold Frost, The Utah Paradigm of Skeletal Physiology Vol. 1 et Vol. 2, ISMNI, 1960

Morell Sabrina, Prof. Dr méd. Gross Thomas, «L’exercice physique pour prévenir ou traiter l’ostéoporose», Forum Médical Suisse 2018;18(05):99-104

Steven Watson, LIFTMOR: Lifting Intervention For Training Muscle and Osteoporosis Rehabilitation, Thèse de doctorat, janvier 2019, Brisbane

A Harding et alii, LIFTMOR-M: BONE-TARGETED EXERCISE STRATEGIES TO REDUCE FRACTURE RISK, Journal of Bone and Mineral Research, Vol. 35, No. 8, August 2020, pp 1404–1414.

Souza, D.C., Barbalho, M., Ramírez-Campillo, R., Martins, W.R., & Gentil, P.R. (2020). High and low-load resistance training produce similar effects on bone mineral density of middle-aged and older people: A systematic review with meta-analysis of randomized clinical trials. Experimental Gerontology, 138.