Voici le témoignage, l’avis ainsi que les conseils de Marie sur le stimulateur vertébral Ostei’Os qui lui a permis d’inverser son ostéoporose et de revenir à la limite de l’ostéopénie, sans médicaments.
C’est un immense espoir pour toutes les personnes qui sont dans des situations comparables !
Vous pouvez écouter son témoignage ci-dessous :
Sommaire du témoignage de Marie sur le stimulateur vertébral Ostei’Os
Le choc du diagnostic d’ostéoporose à 62 ans
Un contrôle de routine
La perspective d’un traitement…
D’un traitement effrayant
À la recherche d’une solution naturelle
La découverte du stimulateur vertébral
Une décision réfléchie
Mettre toutes les chances de son côté
Exercice physique ciblé
Nutrition et digestion
Persévérance et volontarisme
Le groupe de motivation et d’échange
Des résultats excellents !
De l’ostéoporose vers l’ostéopénie
Un moral restauré
Un équilibre amélioré
Si j’ai pu le faire, chacun peut le faire
Un petit peu de temps pour s’occuper de soi
De multiples bénéfices forme, santé, moral
Entretien et continuité
L’admiration de mes proches
Je dois remercier mon ostéoporose que je suis en train de vaincre
Santé globale
Optimisme
Le choc du diagnostic d’ostéoporose à 62 ans
Un contrôle de routine
Alors, j’ai aujourd’hui 66 ans.
Et j’ai découvert que j’avais de l’ostéoporose à l’âge de 62 ans.
Un peu par hasard.
Ma gynécologue, chez qui je fais un bilan tous les ans, me dit :
« Oh, mais ça fait plusieurs années que vous êtes ménopausée.
On n’a jamais fait d’ostéodensitométrie.
On va en faire une. »
J’y vais, confiante.
Et là, tombe le diagnostic effrayant : j’avais de l’ostéoporose avancée.
Le T-score était à -3,0 aux vertèbres, les vertèbres de la L1 à la L4, et -2,2 au col du fémur.
La perspective d’un traitement…
Comme je n’avais jamais eu de fracture, j’avais pourtant fait des chutes, je m’étais cassé des côtes mais pas des vertèbres, la rhumatologue me dit :
« Bon, vous êtes encore trop jeune pour faire un traitement, parce qu’on ne doit pas le faire trop longtemps.
C’est trop tôt, mais dans un an, vous revenez me voir et on fait le point. »
Elle dit « De toute façon, il faudra traiter un jour.»
Je suis sortie de là, je tremblais sur mes jambes.
J’étais très inquiète.
Je faisais très attention où je mettais mes pieds.
J’avais vraiment peur de tomber, de me casser quelque chose.
Je me sentais vraiment en danger.
Surtout que l’avenir était quand même sombre.
Il faudrait que je prenne un médicament.
Je me disais « Bon, je le prendrai ce médicament. »
D’un traitement effrayant
Mais, je n’étais pas au courant des effets secondaires. »
J’ai fouillé le net, consciencieusement.
J’ai vu que les effets secondaires des médicaments contre l’ostéoporose étaient effrayants.
C’était dangereux.
En fait, on n’évitait même pas forcément les fractures.
À la recherche d’une solution naturelle
J’ai emprunté plusieurs livres de médecins rhumatologues à la bibliothèque.
Je les ai dévorés, j’ai pris des notes, j’ai noirci un cahier de notes.
Et puis je suis tombée sur la page Facebook de Luc Lallemand, Santé des os.
J’ai lu son blog.
J’ai lu après les études qu’il citait dans son blog, des études faites en Australie, en Suisse, l’étude LiftMor, notamment.
La découverte du stimulateur vertébral
Et j’ai dialogué avec Luc à propos de l’utilisation de sa machine, son stimulateur vertébral, l’Ostéi’Os.
J’ai hésité, j’ai hésité.
Il ne m’a pas du tout forcé la main parce que, forcément, c’est une décision qu’on doit prendre nous-mêmes.
Je me suis dit :
« Bon, pour éviter la chaise roulante quand je serai vieille avec toutes mes vertèbres fracturées, ça vaut peut-être le coup de tenter le coup quand même. »
Une décision réfléchie
Je l’ai acheté.
Et puis, j’ai commencé l’Ostéi’Os tout doucement, tout doucement, prudemment, prudemment, en pensant à mon T-score à -3,0.
J’étais contente.
Je me suis dit :
« Je vais peut-être éviter les médicaments ».
Mettre toutes les chances de son côté
Exercice physique ciblé
Et puis petit à petit, au fil des mois, j’ai commencé à augmenter sur l’Ostéi’Os.
Et puis, je me suis dit :
« Tiens, je vais faire un peu de gym à côté. »
C’est ce que Luc conseillait.
Nutrition et digestion
J’ai aussi, encore mieux peaufiné mon alimentation qui était quand même pas mal.
J’ai augmenté les protéines, le calcium avec les produits laitiers fermentés, comme conseillé.
Heureusement, j’avais déjà bien réparé ma digestion parce que j’avais un problème d’intolérance alimentaire vraiment très important.
Et ça faisait déjà quelques années que j’avais pris les mesures qui s’imposaient.
J’avais réussi à réparer ma barrière intestinale, j’avais une digestion qui était bien meilleure.
Il ne faut pas que je fasse de bêtises, quoi.
Donc, j’ai encore plus veillé à ça, en apportant les nutriments qu’il fallait pour mes os.
Persévérance et volontarisme
Ce qui m’a aidé beaucoup, c’est que j’ai un caractère volontaire au départ, déjà.
Quand j’ai un problème, je l’attrape à bras le corps, je ne mets pas la tête dans le sable comme… je ne fais pas l’autruche.
Le groupe de motivation et d’échange
Ce qui m’a beaucoup aidé au fil du temps, c’est le groupe privé des utilisateurs d’Ostei’Os.
Je dirais utilisatrices parce qu’il n’y a pas beaucoup d’hommes.
Et puis le fait d’avoir ma prof de gym.
Elle m’a beaucoup aidée aussi.
Et puis, à chaque fois que j’avais besoin d’un renseignement ou que j’avais un doute, Luc était toujours là.
Ça, j’ai beaucoup apprécié.
Des résultats excellents !
De l’ostéoporose vers l’ostéopénie
Et le résultat est arrivé au fil des années.
Mon T-score est devenu de moins en moins négatif.
Je suis passée là actuellement pratiquement en ostéopénie aux vertèbres.
Je suis juste à -2,5, à la limite.
Un moral restauré
Le moral que j’avais vraiment désastreux au départ est remonté petit à petit au fil du temps.
Maintenant, je me sens vraiment confiante, je me sens forte.
Un équilibre amélioré
Je travaille aussi mon équilibre.
Et puis je pense que d’avoir des muscles plus forts, ça permet de mieux tenir en équilibre.
J’ai remarqué que j’ai fait des progrès en équilibre.
>Je fais aussi des étirements pour ne pas être raide.
>Je n’ai plus du tout peur de tomber, de me fracturer.
>Je pense que ce n’est pas de l’inconscience.
J’ai vraiment pris confiance en moi.
Si j’ai pu le faire, chacun peut le faire
Je dirais que j’encourage tous les gens qui doutent un petit peu, qui se demandent s’ils sont capables, si ça va avoir un résultat, moi, je les encourage à débuter l’opération.
Déjà, on ne risque rien en y allant doucement.
Si j’ai pu le faire, chacun peut le faire.
Un petit peu de temps pour s’occuper de soi
Ce qu’il faut, c’est qu’il faut le vouloir vraiment.
Il faut s’en donner les moyens.
Il faut y passer un petit peu de temps.
Ce n’est pas beaucoup de temps.
Sur l’Ostei’O, je passe 20 minutes.
Ensuite, après, je fais à peu près 30 minutes de musculation.
J’y consacre en gros une heure tranquillou, deux fois par semaine.
Et le lendemain ou l’après-midi, ça dépend comment est mon emploi du temps, je passe une demi-heure à faire mes étirements.
Et puis, un petit peu chaque jour, je fais un petit peu d’équilibre.
Mais ce n’est vraiment rien du tout.
Donc, ça ne fait pas grand temps à y consacrer dans la semaine.
De multiples bénéfices forme, santé, moral
Et puis, ça vaut le coup parce que j’ai du résultat.
On se prend en main, on est fière.
Et puis, on améliore aussi notre santé globale.
Parce que les muscles, on sait qu’au fil du temps, ils diminuent.
La qualité du muscle s’amenuise.
Là, moi, je sens mes muscles… qui sont de plus en plus forts, de plus en plus solides.
Je les sens, je les vois.
C’est extraordinaire.
Entretien et continuité
Ce qu’il y a, c’est que je vais devoir continuer comme ça.
Je suis abonnée à vie, à ce rythme de vie.
Mais c’est très bien, ça me convient.
Ça me fait du bien moralement.
Je vais continuer à augmenter les charges sur l’Ostei’Os.
Mais là, de plus en plus prudemment.
Maintenant, j’augmente toutes les 15 séances.
Et un tout petit peu.
Je ne veux pas non plus exagérer.
Pour la musculation, je fais vraiment comme me conseille ma prof de gym.
Je suis tranquille aussi en augmentation.
L’admiration de mes proches
Et en bonus, je fais l’admiration de mes proches.
Mon fils, il est baba de voir tout ce que j’ai fait.
Mon mari, il n’en revient pas.
Je dois remercier mon ostéoporose que je suis en train de vaincre
Donc, si je dirais en conclusion… Cette ostéoporose, je suis en train de la vaincre.
Je dirais qu’elle me fait même plus peur.
Je dirais même que – presque – je dois la remercier.
Ça fait un peu bizarre.
Santé globale
Mais elle m’a mise sur le chemin de la santé globale.
Elle va peut-être m’éviter la dépendance quand je serai vieille finalement.
C’est idiot de dire ça, mais je suis presque contente.
Parce que là, je ne sais pas si j’aurais fait tout ça autrement.
Je me serais peut-être tranquillement laissée aller à faire ma petite marche journalière.
Optimisme
Enfin voilà, courage pour celles qui n’ont pas de fractures.
Parce que quand on a des fractures, après c’est plus difficile.
Courage, on peut y arriver.
Moi, je suis très optimiste.